Archives mensuelles : décembre 2009

Passeport pour l’an 2010

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Continuons l’histoire relatée hier d’Honorine Grimaldi Monaco et de son fiancé René Latour du Pin, dont les bans ont été publiés en l’an XI. Les bans sont inscrits dans les registres de l’état civil de la commune de Maisons-alfort.

Poursuivons nos recherches dans les archives Maisonnaises ; nous retrouvons une autre trace d’Honorine et de René désormais époux.

« (N0 48). René Victor Louis Latour du Pin, né à Paris, âgé de vingt quatre ans, élève diplomatique attaché à la légation française en Russie, pour aller avec Honorine Athénaïs Camille Grimaldi Monaco, son épouse dans les départements du Calvados et de la Manche, m’a justifié d’un passeport délivré par le général de division, ministre plénipotentiaire en Russie, le 28 fructidor an X (n0 74). Témoins : François Godin et Jean Crétin, tous deux domiciliés en cette commune.

*Muni de ce passeport l’histoire d’Honorine et de René se poursuit dans d’autres départements.

Qui sait des lecteurs au cours de leurs recherches trouveront d’autres pièces à ajouter à cette histoire qui a commencé à Maisons-Alfort !

En attendant le CGMA  vous transmet un Passeport pour l’an 2010 en vous souhaitant d’ajouter de nombreux ancêtres à vos arbres génénéalogiques et de faire des découvertes fructueuses.

Que la santé soit aussi au rendez-vous en cette année nouvelle.

Bonne année,

bonne santé.

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Une Grimaldi Monaco à Maisons-Alfort en l’an XI

Dans les registres de Maisons-Alfort, est retranscrite à la date du 10 juillet 1803 la publication des bans concernant une certaine Honorine Camille Athénaïs Grimaldi Monaco :

« Aujourd’huy, vingt et un messidor, an onzième de la République Française, heure de midy, et sur la place publique étant devant l’Eglise de la commune de Maisons-Alfort, Nous, adjoint du Maire, avons publié et affiché la promesse de mariage entre René Louis Victor Latour Dupin… et Honorine, Camille Athénaïs Grimaldi Monaco …, demeurant à Paris, rue de Varennes faubourg Saint Germain… Le mariage doit être célébré à la Mairie du dixième arrondissement de Paris…. »

            Attardons-nous quelques temps sur le lien de parenté entre l’actuelle famille monégasque régnante et notre fiancée Honorine Camille Athénaïs Grimaldi Monaco.

Pour les habitués de la numérotation Sosa, la solution est simple :

256           Honoré III (1720-1795)

128            Honoré IV

64              Florestan 1er

32              Charles III

16              Albert 1er

8                Louis II

4                Charlotte

2                Rainier III

1                 Caroline (1957) – Albert (1959) – Stéphanie (1965)

            L’ancêtre commun est Honoré III, arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père du Prince Rainier III.

Sachant que Florestan 1er et Honorine-Camille-Athénaïs étaient cousins germains.

256  Honoré III         1720-1795

128  Honoré IV             1758-1819

Frère de 128      Joseph-Marie – Jérôme –    Honoré                            1763-1816

Dont une fille   Honorine-Camille-Athénaïs                          1784-1879

 

Il s’agit donc bien de la même famille Grimaldi-Monaco, même si nous remarquons que la ligne agnatique n’est pas respectée et qu’une Charlotte (N°4) a permis de garder le patronyme initial.

A titre d’exercice : sauriez-vous retrouver le nombre de degrés qui séparent notre fiancée Honorine de ses cousins Caroline, Albert et Stéphanie ?

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1901 : Nomenclature des rues de Maisons-Alfort (6)

1901 Petibon : Plan de Maisons-Alfort

1901 Petibon : Plan de Maisons-Alfort

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60000 visites en 2009

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66779 visites (pour 538 articles) indiquera qu’il y aura eu 6779 visites pendant le dernier quadrimestre 2008,

et 60000 visites en 2009.

(Voir Stats du blog sur la partie droite de votre écran)

Merci d’abord à tous ceux qui ont permi que ce blog existe, puis vive.

Merci ensuite à tous ceux qui sont venus visiter, ou ont surfé quelques instants sur ce blog,

touristes, lecteurs assidus ou de passage, soyez remercié.

L’an 2010 vous tend les bras, amis fidèles, avec des articles classiques, d’autres plus détente et aussi

des nouveautés que vous découvrirez dans les mois qui viennent.

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Passez quelques instants de temps en temps  sur l’éphéméride :

http://cgma2.wordpress.com/

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**

ABonne année

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1901 : Nomenclature des rues de Maisons-Alfort (5)

Manuel Officiel des Communes du Département de la Seine du Cours Foncier par Commune et par Rue. Sous la direction de Maxime Petibon. 

Page 274 Nomenclature des rues de Maisons-Alfort. Par lettres alphabétiques. Leur situation avec la valeur et le cours moyen du terrain

Abréviations : M, centre du pays et près du pont ; G, quartier Gaillard ; C, quartier Charentonneau  

  Rues, avenues, etc. Commençant Aboutissant Prix moyen du terrain
         
  M N P      
         
M Maire (rue) rue Chabert rue Bourgelat
M Marceau (rue) Grande Rue rue Victor Hugo 12 à 14 fr.
M Marne (quai de la) d’Alfortville au Pont
C Masséna (rue) ch. de Saint-Maur rue Hoche 3 à 4 fr.
M Mèches (chemin des) rue Victor Hugo limite
C Moscou (rue de) chemin de Halage rue de l’Alliance
G Normandie (rue de) rue d’Enfer rue de la Ferme 6 à 7 fr.
C Raspail (rue) rue de la Ferme av. de Saint-Maurice
M Parc (rue du) rue Pasteur Grande Rue
C Paris (rue de) chemin de Halage rue de l’Alliance 6 à 8 fr.
M Parmentier (rue) rue Charentonneau rue Gambetta 12 à 15 fr.
C Partage (rue du) av. de Saint-Maurice rue Buisson-Joyeux
M Pasteur (rue) Grande Rue rue de la Gare 15 à 20 fr.
M Paul Bert (rue) quai d’Alfort rue de Créteil
M Pelet de la Lozère (rue) Grande Rue rue Rodier 10 à 14 fr.
C Président Félix Faure (rue) chemin de Halage rue du Partage
         
  R S T U V      
         
C Renard (rue) rue du Partage avenue du Fort
M Rodier (rue) rue de la Gare chemin de l’Abreuvoir 10 à 12 fr.
M Saint-Georges (rue) rue Auguste Simon rue Delaporte
C Saint-Maur (chemin de) rue de Créteil limite 2 à 4 fr.
C Saint-Maurice (avenue de) quai de Halage chemin de Saint-Maur 5 à 7 fr.
C Saint-Pétersbourg (rue) chemin de Halage rue de l’Alliance
C Sapins (rue des) av. de Saint-Maurice rue Buisson-Joyeux
C Soult (rue) rue Carnot rue Masséna 3 à 4 fr.
C Strasbourg (rue de) Grande Rue chemin des Mèches
C Toulon (rue de) chemin de Halage rue de l’Alliance
C Tsar Nicolas (rue) chemin de Halage rue du Partage
M Usine Springer (rue) Grande Rue rue du Parc
M Victor Hugo (rue) Grande Rue à Créteil 11 à 14 fr.

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Recherche des rues de Paris

Veuillez saisir un ou plusieurs mots de la voie (Rue, avenue, etc …) recherchée sur la page

http://www.v2asp.paris.fr/commun/v2asp/v2/nomenclature_voies/

http://www.v2asp.paris.fr/commun/v2asp/v2/nomenclature_voies/Voieactu/index.nom.htm

A titre d’exemple  voici le résultat pour la « Rue Bosquet« , une rue chère à mon enfance où j’ai passé les 14 premières année de ma vie. (Un peu de nostalgie : Ecole rue Clerc, Ecole avenue de la Motte-Piquet, puis le Lycée Buffon … )

Rue Bosquet

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Il y a dix ans : Lothar et Martin.

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Lothar est le nom donné à la tempête qui a dévasté, dans la journée du 26 décembre 1999, les forêts de France, de Suisse, d’Allemagne et du Danemark, causant des dommages sans précédent avec des vents jusqu’à 259 km/h. La dépression a touché le Finistère à environ 2 h et Strasbourg à 11 h, elle s’est donc déplacée à environ 100 km/h.

Martin. Cette seconde dépression, se déplaçant aussi à une vitesse proche de 100 km/h et très profonde (jusqu’à 965 hPa à 16 h en Bretagne), s’est développée au large de la Bretagne le 27 décembre 1999 pour atteindre la côte de cette région vers 16 h. Par la suite, elle s’est dirigée vers Nantes (19 h), Dijon (1 h le 28 décembre) et enfin l’Alsace (4 h). Les régions de toute la côte Atlantique ont été très touchées par le vent, en particulier les départements de la Charente-Maritime et de la Charente, qui ont été les départements les plus durement touchés (198 km/h sur l’Île d’Oléron)[2]. Le vent continuait à souffler en Corse le mardi 28 au matin. La tempête a également affecté l’Espagne et le nord de l’Italie.

Lire l’article complet sur :

wikipedia – Tempêtes de décembre 1999 en Europe

L'Orangerie de Château-Gaillard à Maisons-Alfort

L'Orangerie de Château-Gaillard à Maisons-Alfort

Les cataclysmes à Maisons-Alfort : Inondations en 1876, 1882, 1910, 1924.

La Marne a gelé en 1956. Tempête du 26 décembre 1999.

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bouquetières, brossiers, boyaudières, brocanteurs, jardiniers, pêcheurs, savetiers, vidangeurs, etc

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Extrait du « Magasin pittoresque » 1860 – (Gallica)

 

Corporations de Marchands et Communautés d’Arts et Métier de Paris.

   Tous nos lecteurs savent que la liberté du commerce et de l’industrie est une conquête récente qui date, comme tant d’autres libertés, de la révolution. Dès l’époque la plus reculée de la monarchie française, le droit de vendre et de fabriquer fut soumis à certaines obligations, à certains impôts. Dans les temps féodaux, où toute chose passait à l’état de privilège héréditaire, le marchand, l’artisan, le fabricant, durent, eux aussi, convertir leur commerce, leur industrie en fief, s’efforcer d’en assurer la transmission à leurs enfants et d’écarter les étrangers de leurs corps, où ils ne seraient entrés que pour leur faire une ruineuse concurrence.

   Les arts, les métiers furent enrégimentés, organisés en maîtrises et jurandes. Nul ne pouvait s’y introduire sans avoir rempli certaines conditions : apprentissage, chef-d’œuvre, prix du brevet.

   La législation des maîtrises et jurandes date de saint Louis. Il existe à la bibliothèque impériale un ouvrage curieux qui donne la liste des communautés et confréries qui existaient à Paris en 1621. C’était le « Calendrier de toutes les confrairies de Paris : tant de celles de dévotion (où toutes personnes sont reçues) que de celles des nobles communautés : marchands, bourgeois, gens de mestier, artisans et mécanique. (Paris, chez Martin Collet, 1621.) Par J-Bapt. Le Masson, Forezain, aumônier ordinaire du roi Louis XIII. » On voit dans ce livre, en regard du nom de chaque confrérie, celui de son patron, et l’indication des jours des saints fêtés par chacune d’elles ; en tête de l’ouvrage, un crieur des confréries en grand costume.

   Nous trouvons là une liste d’environ 180 confréries. 66 saints étaient fêtés, ou plutôt 66 jours fériés étaient célébrés par les confréries, indépendamment des dimanches et grandes fêtes de l’année. Il est assez difficile quelquefois d’apercevoir le rapport qui peut exister entre les patrons et les confréries ; par exemple, pourquoi les colporteurs d’édits, d’almanachs et choses telles, les botteleurs de foin, ont également pour patron saint Charlemagne ; pourquoi saint Jean-Baptiste est celui des passeurs en peaux, des tonneliers et avaleurs de vin, des fourbisseurs, des ramoneurs de cheminée ; pourquoi la sainte Vierge est la patronne des gagne-deniers sur l’eau, des faiseurs d’aiguilles, des rôtisseurs, des tondeurs de drap, des compagnons corroyeurs, etc. Quoi qu’il en soit, les patrons des confréries étaient très sérieusement fêtés par force réjouissances, chansons et rasades. Chaque confrérie formait en outre une sorte de petite armée, avec le nom de son patron comme point de ralliement et comme drapeau.

   Quelques années avant la Révolution, en 1776, un édit de Louis XVI modifia assez profondément cet état de choses, sans toucher cependant au principe du privilège. Les jurandes et communautés furent supprimées. A leur place furent créés six corps de marchands : (1° Drapiers, merciers ; – 2° Epiciers, commerce des drogues sans manipulation : l’édit porta qu’ils payeraient la maîtrise 800 livres au lieu de 1700 – 3° Bonnetiers, pelletiers, chapeliers, seuls coupeurs de poils, 600 livres – 4° Orfèvres, batteurs d’or, tireurs d’or, 800 livres au lieu de 2400 – 5° Fabricants d’étoffes et de gazes, tissutiers, rubaniers, 600 livres au lieu de 1750 – 6° Marchands de vin 600 livres au lieu de 800), et quarante quatre communautés d’arts et métiers. Il est dit dans les dispositions ou l’exposé des motifs de cet édit, que le roi, sur les représentations du Parlement, a consenti à déclarer libres certains genres de métiers et de commerce.

   L’édit indique un certain nombre de professions qui pourront être exercées librement : ainsi celles de bouquetières, brossiers, boyaudières, brocanteurs, jardiniers, pêcheurs, savetiers, vidangeurs, etc., « afin, ajoute-t-il, qu’elles soient une ressource ouverte à la partie la plus indigente de nos sujets. »

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Un article fruit des recherches Gallicanesques de Sylvie R.

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Noël : Quand les hommes …

*Une petite chanson pour vous souhaiter un joyeux Noël

Quand les hommes vivront d’amour

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Le père Noël et ses derniers cadeaux

18 décembre les archives d’Arles en ligne

15 décembre aux archives de Paris 75

Recensements accessibles des 1975

AD 55 – Les archives de la Meuse en ligne pour Noël

AD Les infos 75, 86, 91, 94

Novembre – AD 90 – Territoire de Belfort en ligne

 

Le père Fouettard et son cadeau

Pétitions et articles parus sur les AD du Calvados : PAYANTES

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Avez-vous un ancêtre député ?

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Assemblée nationale –  Base de données des députés français depuis 1789

 

Plusieurs types de recherches vous sont proposés :

Recherche par le nom et/ou par le département

Recherche par date et/ou par législature 

Vous pouvez choisir la présentation :

Résultats triés par ordre chronologique ou par ordre alphabétique

A titre d’exemple voici :

Tous les députés du département ‘Val-de-Marne’

 

Le 1er janvier 1968, le Val-de-Marne devient un département au sens complet du terme, circonscription administrative de l’Etat à part entière et collectivité territoriale dotée de son propre budget d’autre part.

Il compte 1 120 000 habitants.

Le Val-de-Marne ayant été créé en 1968 il vous faudra sélectionner dans

Tous les députés de la Seine

 

pour trouver des députés plus anciens tel que l’ancien député-maire de Maisons-Alfort :

Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1889 à 1940 (J.Joly)

Amédée, François CHENAL (1852 – 1919)

 

Voici quelques députés rencontrés en faisant la généalogie familiale dont certains ont déjà fait l’objet d’un ou plusieurs articles sur ce blog :

Henri SAINT-PIERRE-LESPÉRET (1761 – 1847) Corps législatif

 

Saint-Pierre Lespéret : Le rideau rouge et André Chénier

 

Marc, Etienne DUFRAISSE (1811 – 1876) Seine

 

Articles de cgma.wordpress concernant Marc Dufraisse

 

Noël PARFAIT DIT NOËL-PARFAIT (1813 – 1896) Eure-et-Loir

 

Articles de cgma.wordpress concernant Noël Parfait

 

Jean-Baptiste, Guillaume BUSSON (1765 – 1835) Eure-et-Loir

 

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Et pour terminer, un député ancêtre de Carla BRUNI :

geneinfos – les ancêtres français de carla brunisarkozy

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Article de Joël – 

Adhérent-CGMA-Joël-007

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Coordonnées des Archives – AD et AC

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Le site officiel :

Les Archives de France

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et les deux pages suivantes vous donneront les informations nécessaires

 (et qui sait suffisantes !)

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Archives de France – annuaire des départements

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Archives de France – annuaire des communes

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Classé dans Archives, Archives Communales, Archives Départementales

Citation (13) – 23 décembre 1598

« Il paraît encore plus grand mort que vivant. »

Parole prononcée par Henri II devant le corps du Duc de Guise qui venait d’être assassiné au château de Blois.. – (23 décembre 1598)

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Les Vosges (88) bientôt en ligne

 

Les Archives départementales des Vosges ont achevé la numérisation des :

· registres paroissiaux et d’état civil (jusqu’en 1904)

· tables décennales 1802-1893

· dénombrements de population (jusqu’en 1936)

· registres matricules (jusqu’en 1900).

Les registres paroissiaux et d’état civil, ainsi que les tables décennales sont en accès libre sur des postes de consultation, en salle de lecture et seront mis en ligne sur le site Internet :

www.vosges-archives.com

 

En ce qui concerne l’accès à ces ressources, le Département s’est prononcé dès 2007 pour sa gratuité.

L’annonce de la mise en ligne, vraisemblablement en janvier 2010.

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Lu sur Groupement Généalogique du Havre et de Seine-Maritime.

Entraide Généalogie Onomastique Héraldique Région Havre Seine-Maritime

Merci à Patricia Esnault

http://gghsm.forumpro.fr/

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Classé dans AD en ligne, Archives

Les recherches aux archives à la portée de tous

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Francis Guichard, président de la société Art et histoire de Sarlat et du Périgord noir, est intervenu devant les adhérents de l’association La Pierre angulaire – qui inventorie le petit patrimoine rural – pour une séance de travail sur le thème de la recherche aux archives.

lire la suite de l’article de Sud-Ouest – Dordogne sur

http://www.sudouest.com/dordogne/actualite/sarlat/article/814227/mil/5515644.html

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Pontivy (56), le blog.

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Une initiative à apprécier, car elle est rare au niveau des communes, voire au niveau des départements.

(La Bretagne montre l’exemple … on ne peut renier ses origines !)

http://www.pontivy.eu/archives/

Un article du Télégramme de Brest du 21 décembre nous annonce la mise en ligne :

Archives. Le fonds municipal est en ligne à Pontivy

Des documents des archives municipales sont désormais consultables en ligne. Ce nouveau site compte déjà 8.500 fichiers numérisés et continue d’être alimenté.

A vous maintenant qui avez des ancêtres à Pontivy de découvrir.

Consulter les fonds d’archives de Pontivy

Les articles parus concernant les archives communales en ligne :

https://cgma.wordpress.com/category/archives/ac-en-ligne/

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Kenavo – Joël

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Mots fléchés et généalogie

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Les définitions

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1 Sigle de l’expression Baptèmes-Mariages-Sépultures
2 Gardent les minutes et nous laissent les grosses
3 Mois chaud du calendrier républicain
4 Parfois sous X
5 Fit courir
6 Transmis par le père
7 Dernier acte
    ~~~~~~~~~~~~~
1 Amateur d’arbres
2 Amateur d’écritures anciennes
3 Ont leurs lecteurs
4 Remplissent les inventaires et les répertoires
5 Après la Somme
6 De la même mère

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La grille

 

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Réponses l’année prochaine

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Livre des tailles de 1313 : Surnoms et sobriquets

SURNOMS et SOBRIQUETS

( Livre des tailles de 1313 )

 A l’époque du moyen âge, et pendant les premiers siècles qui le suivirent, l’usage des surnoms et des sobriquets était généralement répandu. Ces surnoms tirés de qualités ou de défauts physiques, de profession, d’emplois, ou de pays, tenaient lieu de ces noms propres invariables que nos registres de l’état civil perpétuent d’une façon inaltérable. – Nos rois mêmes ne les évitaient pas; on disait de leur vivant  Louis le débonnaire, Charles le chauve, Louis le bègue, Louis le gros, Philippe le hardi, Louis le hutin, Philippe le long, Louis le bel, etc. – C’est de cette époque que datent les noms patronymiques, de le roi, le marchand, le chevalier, le prêtre, le borgne, le grand, le blond, le blanc, le boucher, le chanteur, le clerc, le cordier, le couvreur, le febvre (faber fabricant), l’écrivain, le moine, l’épicier, le breton, le normand, etc.- Les habitants de Paris avaient un surnom général.

BADAUD, surnom dont l’origine était peu honorable, s’il faut en croire M. Dulaure :  » L’ignorance, dit-il, portait les Parisiens à tout croire et les disposait aussi à tout admirer ; cette admiration constante pour les choses qui étaient peu dignes leur a valu le surnom de badauds.  » Rabelais, avec la brusque franchise de son temps, dit :  » Le peuple de Paris est tant sot, tant badaut et tant inepte de nature, qu’un basteleur, un porteur de rogatons, un mulet avec ses cymbales, un vielleur au milieu d’un carrefour, assemblera plus de gens que ne ferait un bon prédicateur évangélique. » 

J’aime mieux admettre, avec un auteur moderne, moins ennemi de cette ville, dans laquelle je suis né (à l’Hôtel-de-ville, dans la chambre où Lebas s’est brûlé la cervelle et où Robespierre a été arrêté), que ce surnom honorable n’est venu aux Parisiens qu’après les guerres d’Italie sous Charles VIII et d’un mot italien, badare, faire attention : on a observé, en effet, que cette faculté précieuse est développée à un haut degré chez tous les habitants de Paris.

AUTRES SURNOMS : On trouve dans le Livre des tailles de 1313 ; dont il a été question ci-dessus, un grand nombre de surnoms et de sobriquets en usage dans le XIVe siècle. Nous en citerons quelques-uns, parce qu’ils font connaître l’esprit du temps.

Amie.- Margot, amie de feu Girart de Saint-Cuir, rue Gervaize Lorenz. Amie signifie-t-il maîtresse, ou est-ce le synonyme de veuve ?

Bidaude, bidaut. – Hugue le bidaut, rue du Temple. Perronnelle la bidaude, rue Saint-Honoré. Bidaut, variante de bedel, bedeau. Bidaude, femme de bedeau.

Bigame. – Geffroy de Vercy, bigame. Sobriquet curieux.

Jocete. – Dame Jehanne, la jocete (la joyeuse).

Ladre. – Jaques le ladre, rue Saint-Honoré. La ladrerie, lèpre fort commune aux XI, XII et XIIIe siècles, était un des fruits des croisades.

Louvete. – Mabile la louvete, tavernière. Louvete, diminutif de louve, lupa, femme de mauvaise vie.

Pucelle. – Alison. de Mori, pucelle et sa suer, rue des Escouffes. – Pucelle, femme non mariée ? femme de chambre ?

Serourge. – Raoul, le fanier, Rogier, son serourge (beau-frère.)

Suer, sœur. – Ameline de Roen, suer au confesseur le roy, Viez rue du Temple (paroisse Saint-Gervais). Sa parenté ne lui fut pas inutile en cette occasion, on lit en note:. » Nichil, (pour nihil), non marchande. » 

France Pittoresque – Paris Ancien – Tome III, page 104. Abel Hugo –1835

 

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20 décembre 1967 – Le premier budget

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L’article complet sur la création du Val-de-Marne sur le site de la préfecture :

Val-de-marne.pref.gouv. Le département histoire

Il y a plus de trente ans, le 1er janvier 1968, naissait le département du Val-de-Marne.

Le regroupement de tous les services de l’Etat est achevé en 1967. La même année, le Conseil Général est installé et ses trente-trois élus votent le premier budget, le 20 décembre.

La préfecture étant encore éloignée pour les Val-de-Marnais de l’Ouest et de l’Est, une sous-préfecture est créée à Nogent-sur-Marne en 1966 tandis qu’une annexe de la préfecture est mises en place à l’Haÿ-les-Roses en 1969, qui sera érigée en sous-préfecture par un décret de 1972.

Le 1er janvier 1968, le Val-de-Marne devient un département au sens complet du terme, circonscription administrative de l’Etat à part entière et collectivité territoriale dotée de son propre budget d’autre part. Il compte 1 120 000 habitants.

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Actes de naissance – 19 décembre 1792

Mariage.

Mention portée en marge des actes de naissance des époux depuis le 17 août 1897 (art. 76 du Code Civil). Légitimation, en marge des actes de naissances (loi 17/08/1897). La mairie qui enregistre un mariage doit adresser aux mairies de naissance de chacun des époux un avis de mention à reporter sur l’acte de naissance. Généralement en marge.

Actes de naissance :

Les renseignements suivant sont donnés dans les actes postérieurs à la loi du 28 octobre 1922.

– la profession du père et de la mère,

– l’état matrimonial des parents (mariés ou non),

– le domicile des parents,

– les témoins de l’acte avec, parfois, leurs liens de parentés avec le nouveau né,

– le domicile de ces derniers.

Le 19 décembre 1792, la Convention exige que les actes de naissance soient établis “dans les trois jours suivant la naissance sous peine de deux mois de prison, de six en cas de récidive.”

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Réouverture des Catacombes de Paris

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Les Catacombes de Paris étaient fermées depuis trois mois pour travaux, suite à des actes de vandalisme.

Véritable labyrinthe au cœur du Paris souterrain, les Catacombes rassemblent les restes d’environ six millions de Parisiens, transférés entre la fin du XVllle siècle et le milieu du XIXe siècle, au fur et à mesure de la fermeture des cimetières pour raison d’insalubrité.

L’adjointe chargée du patrimoine est très heureuse de pouvoir annoncer la réouverture des Catacombes, haut lieu de l’histoire de la Ville de Paris, samedi 19 décembre 2009 dès 10h après trois mois de travaux.

Lire la suite sur : 

Réouverture des catacombes de Paris.

Plan interactif ou Itinéraire
Adresse : 1 Avenue du Colonel Henri Rol-Tanguy 75014 Paris
Voir le numéro de téléphone

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