“L’État, c’est moi !”
Phrase attribuée à Louis XIV pendant la séance du parlement du 13 avril 1655, exprimant sa conception du pouvoir absolu.
“L’État, c’est moi !”
Phrase attribuée à Louis XIV pendant la séance du parlement du 13 avril 1655, exprimant sa conception du pouvoir absolu.
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1855 – Reconstitution de l’acte de décès de DODUN
Préfecture du Département de la Seine
Reconstitution des actes de l’État Civil (Loi du 12 février 1872)
Acte de Décès de Paris 9e.
Extrait du registre des actes de décès de l’année 1855 – 2e Mairie
Dodun de Kéroman Claude Laurent Marie
Né Morbihan
Du mercredi onze avril mil huit cent cinquante cinq, une heure et demie de relevée. Acte de décès de Claude Laurent Marie Dodun , Marquis de Kéroman, âgé de quatre-vingt cinq ans, chevalier de la légion d’honneur, ancien officier d’Etat major, ancien secrétaire d’Ambassade, Maire de la commune de Maisons-Alfort (Seine) ; décédé ce matin, à minuit un quart, au domicile de son fils, rue Saint-Lazare, n°36, veuf de Sophie Agathe Leprêtre de Chateaugiron, le dit acte dressé en présence et sur la déclaration de M.M. Eugène Vincent Dodun de Kéroman, propriétaire, âgé de vingt neuf ans, demeurant à Paris, rue du Cirque, n°19, petit-fils du défunt et Louis Adolphe Lemaître, vicaire de Saint-Germain des Prés, âgé de vingt neuf ans demeurant à Paris, rue Bonaparte, n°55, témoins qui ont signé avec nous André Charles Ancelle, adjoint au Maire après lecture et le décès constaté suivant la loi. Signé au registre Dodun de Kéroman, Lemaître et Ancelle. Délivré conforme au registre par nous Maire du second arrondissement de Paris, ce quatorze juin mil huit cent cinquante cinq. Signé Patural —
Admis par la commission (Loi du 12 février 1872)
Le membre de la commission. Signé : Daligny
Pour expédition conforme.
Paris le trente un août mil huit cent soixante douze.
Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine.
Pour le Secrétaire Général chargé des fonctions de Préfet,
Le Conseiller de Préfecture Délégué.
Qui était clm DODUN de KEROMAN ?
1855 – M. Dodun, qui était maire depuis 1813, mourut en 1855. Depuis son installation jusqu’au 25 mars, c’est-à-dire quelques jours avant sa mort, il avait écrit de sa main à peu près tous les procès-verbaux des séances du conseil, les actes de l’état civil et la correspondance, sans le concours d’aucun secrétaire ; on ne trouve pas d’anciens budgets, mais il est probable qu’il les faisait également.
Données du CGMA
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11 octobre 1770 – Claude Laurent Marie DODUN de KEROMAN
16 février 1850 – Majorat pour DODUN de KEROMAN
25 mars 1855 – Claude Laurent Marie DODUN de KEROMAN
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« L’aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher, jusqu’aux tours de Notre-Dame. »
Proclamation faite par Napoléon Ier en débarquant au golfe Juan (1er mars 1815), à son retour de l’ile d’Elbe.
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Didier Lockwood, 62 ans, l’un des plus célèbres violonistes de jazz français, est décédé d’une crise cardiaque ce dimanche. « Son épouse, ses trois filles, sa famille, son agent, ses collaborateurs et sa maison de disque ont la douleur de faire part de la disparition brutale de Didier Lockwood dans sa 63ème année », indique un communiqué de son agent, transmis à l’AFP. Il avait participé à un concert samedi soir au bal Blomet, une salle de jazz parisienne.
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7e Président de la IIIe République du 18 février 1899 au 18 février 1906
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Parti politique ARD (gauche)
Émile LOUBET (1838-1929). Soixante ans, ancien avocat, républicain convaincu est élu le 16 février 1899 pour contrer le courant monarchiste renaissant. On l’avait presque oublié lorsqu’il meurt , en 1929, âgé de 90 ans.
Rechercher les célébrités à l’aide de l’alphabet dans la colonne DE A à Z
par exemple Berger Michel
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Pour mieux connaître cet arbre :
Pour découvrir les détails du vitrail à Chartres :
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2e Président de la IIIe République du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879.
———-
Patrice de MAC-MAHON (1808-1893) est un militaire, ce monarchiste deviendra le deuxième président de la IIIe république. Il est élu pour ses convictions légitimistes. Une nouvelle constitution est votée le 21 février 1875. La IIIe république (encore provisoire) est dotée d’une chambre désignée au suffrage universel et d’un Président élu pour sept ans, rééligible ayant pouvoir de dissoudre la Chambre avec l’aide du Sénat. Patrice Marie Edmé Maurice de Mac-Mahon use de cette prérogative le 25 juin 1877. Sommé par Gambetta « de se soumettre ou de se démettre », Mac Mahon démissionne le 30 janvier 1879.
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« Fils de Saint-Louis, montez au ciel. »
Parole attribuée à l’abbé Edgeworth de Firmont, dernier confesseur de Louis XVI au moment ou le roi montait à l’échafaud. (21 janvier 1793)
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6e Président de la IIIe République du 17 janvier 1895 au 16 février 1899
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Élu le 17 janvier 1895
Parti politique Républicain modéré (centre)
Félix FAURE (1841-1899). Avec l’arrivée de Félix FAURE c’est le retour de la présidence traditionnelle. Riche négociant, ayant été plusieurs fois ministre ce quinquagénère, encore bel homme, est vite populaire. La CGT est créée en 1895, ZOLA avec son article « J’accuse » ouvre l’affaire DREYFUS, Félix FAURE prend le parti des « antidreyfusards ». Il meurt subitement le 16 février 1899 d’une hémorragie cérébrale, à l’Elysée, dans des circonstances qui défraient la chronique galante.
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Paris n’a jamais cessé de se construire, s’agrandir, se transformer : au fil des siècles, toutes les voies parisiennes ont été remaniées, certaines supprimées, d’autres encore déplacées. Aujourd’hui, l’ancienne Lutèce possède plus de 6500 rues, avenues, places, impasses ou autres promenades, toutes dotées d’un nom unique.
Mais comment attribue-t-on un nom à une rue ? De quand datent les premières dénominations officielles ? On vous explique tout.
Depuis la loi du 2 mars 1982 relative à la liberté des communes, départements et régions, le choix des noms donnés aux rues des villes françaises relève des compétences de la commune, et donc des conseils municipaux. La dénomination des voies parisiennes n’est, normalement, autorisée qu’en hommage à une personnalité décédée depuis au moins cinq ans, mais de plus en plus de dérogation sont constatées. Parmi les attributions de voies officialisées en 2016, on trouve par exemple la Place Georges-Moustaki, d’après l’auteur-compositeur décédé en 2013, ou encore la Promenade Florence-Arthaud, en hommage à la navigatrice française décédée accidentellement en mars 2015
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Vraies ou fausses, les histoires familiales franchissent les générations.
Ces histoires sont fortement ancrées dans la mémoire des familles.
Mais elles laissent les généalogistes dubitatifs.
Souvent pendant des années ils ne savent pas faire la part entre l’histoire ou la légende.
Les généalogistes se mettent à la recherche du moindre indice.
L’histoire du « rideau rouge » de Henry Saint-Pierre Lespéret est restée longtemps pour moi une interrogation.
Un livre écrit par le général Antoine Noguès, gendre de Saint-Pierre , allait me confirmer que cette histoire n’était pas une légende.
« Mémoires du Général NOGUES (1777-1853) sur les guerres de l’Empire »
publiés par la Baron André de Maricourt -1922
L’extrait ci-dessous a été écrit dans l’introduction de ce livre par le Baron André de Maricourt.
Une introduction où fourmillent de nombreuses autres anecdotes familiales.
“ Les Saint-Pierre étaient voisins des Noguès. Ils tirent leur surnom du bourg de Lespéret, situé dans les Hautes-Pyrénées, non loin de Castelnau (-Rivière-Basse).
….
Quant à Saint-Pierre Lespéret, beau-père de Noguès, il appartient un peu à l’histoire.
Homme de haute culture et d’intelligence remarquable c’était bien un de ces types de la haute bourgeoisie jusqu’en 1789 que la province aima à envoyer à Paris pour y représenter ses intérêts
Député du Gers, il siégea parmi les Girondins et devint l’ami personnel de Vergniaud et Gensonné.
Il fut incarcéré pendant la terreur et le 9 thermidor sauva sa tête. On a publié ses lettres écrites à sa femme de la prison Sainte-Pélagie, mais dépouillé de tout caractère intime elles perdent beaucoup de leur intérêt.
Après la Révolution, il continua de représenter le département du Gers et il s’attacha à l’Empereur qui désirait le rallier et l’anoblit. Vice-président du corps législatif, grand propriétaire terrien, il exerça dans le Gers la plus large hospitalité et rivalisa de bonté avec sa femme. Petit, gracile, d’aspect doux et bienveillant, doué d’une urbanité parfaite, il était cependant d’une force hors de pair à l’épée. Son caractère était d’un rare sang froid et diverses anecdotes inédites concernant sa détention méritent d’être rapportées.
Il était compagnon de prison d’André Chénier dont il devint l’ami. Leurs cellules faisaient vis-à-vis. Un rideau rouge voilait la fenêtre de Saint-Pierre. Chénier, désireux d’être prévenu à temps pour se préparer à la mort, si Saint-Pierre connaissait avant lui l’arrêt du tribunal révolutionnaire le concernant, lui avait demandé à cette heure redoutable de laisser tomber, comme signal, le sinistre rideau … Ainsi fut il … et bien qu’obéissant au suprême désir d’un ami, Saint-Pierre, jusqu’à sa mort fut hanté par le souvenir de ce geste qui lui apparaissait comme celui d’un bourreau.
Lui-même, en prison, attendait la mort avec calme et s’absorbait dans la traduction d’un ouvrage anglais de grande valeur. Quant au 9 thermidor on lui annonça sa liberté, il demanda la faveur de demeurer un jour de plus dans sa cellule pour terminer, dans le recueillement, l’ouvrage qu’il achevait. ”
Henry Saint-Pierre Lespéret est le sosa n°42 de J. MALARTIC mon beau-père.
La propriété dite de Lespéret est depuis plus de quatre siècles restée dans la famille.
Article de Joël
Henry SAINT-PIERRE LESPERET (1761 – 1847)
Les descendants de Henri SAINT-PIERRE LESPERET (42) et Catherine DUCUING (43)
1 Jeanne Dominiquette SAINT-PIERRE (17-06-1786 – 24-09-1864) (21)
x 10-05-1808 Jean-Baptiste DUCUING (20)
(20-07-1780 – 26-01-1813)
11 Ferdinand DUCUING (23-03-1809 – 11-11-1873) Marine Marchande puis
Ministère des Finances.
x 17-04-1849 Adèle MAGENC fille d’un Propriétaire à Plaisance.
(02-07-1823 – 03-11-1905 à Saint Maixent)
12 Henri DUCUING (10) (22-11-1812 – 07-11-1866) Avocat à Tarbes
x 25-02-1840 Evelina LEBRUN (11) fille de l’Avocat Jean-Paul LEBRUN
(18-12-1819 – 22-10-1885) de Tarbes
121 Henriette DUCUING (5) (10-11-1840 – 07-05-1919) de Tarbes
x 06-09-1860 Anicet MALARTIC (4)
(17-04-1836 – 02-07-1922) Juge
1211 Evelyne MALARTIC x A : LABORDE-LACOSTE
(1861-1952) Capitaine de Gendarmerie
x B : MUE
Directeur des Contributions Indirectes
1212 Clotilde MALARTIC x Gabriel FOCH
(1865-1944) Avoué (1850-1925)
1213 Henri MALARTIC (2) x Lucy DUFRAISSE (3)
Chirurgien (1873-1963) (1881-1964)
2 Emile Jean Baptiste Quitterie SAINT-PIERRE (1793 – 18-05-1834)
x – -1828 LESBAZEILLES ( – 1847)
3 Marie Jeanne Pélagie (dite Jenny) SAINT-PIERRE (03-01-1794 – 21-04-1884)
x 14-04-1815 Antoine NOGUES (Général)
(07-05-1777 – 21-12-1853)
31 Henry (1816 – 1840)
32 Caroline (1817 – 1831)
33 Edmond (1820 – 1883)
4 Dominique Joseph Urbain SAINT-PIERRE (27-06-1800 – 14-04-1865)
41 Henry (1840 – 1871)
x – -1858/ Juliette De PORQUEVILLE
( – 1880)
Adhérent-CGMA-Joël-007
http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/(num_dept)/15923
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