Archives de Catégorie: Histoire locale

30 avril 1910 – Georges ROSE

Georges Rose, né le 30 avril en 1910 à Maisons-Alfort et mort en 1997, est un ancien footballeur professionnel français.
Son poste de prédilection est défenseur et attaquant. Il ne compte qu’une sélection en équipe de France de football, le 15 avril 1934 au stade Municipal de Luxembourg pour la qualification en Coupe du Monde – Luxembourg 1-6 France.
La suite sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Rose

Georges_Rose_1935

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Témoignage de Paul Simon : 4 – La grande Guerre

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Témoignage de Paul Simon : 3 – Face à l’ennemi allemand

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Témoignage de Paul Simon : 2 – La vie des tranchées

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Témoignage de Paul Simon : 1 – Réalité des combats

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14-18 à Maisons-Alfort : Gestion des réfugiés

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14-18 à Maisons-Alfort : L’approvisionnement

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14-18 à Maisons-Alfort : La présence militaire

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14-18 à Maisons-Alfort : Mise en culture

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14-18 à Maisons-Alfort : Vente de viande frigorifiée

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14-18 à Maisons-Alfort : Ventes de lait écrémé

 

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14-18 à Maisons-Alfort : Solidarité avec les troupes françaises

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17 avril 1942 – Alfortville – Marcel BOURDARIAS

Marcel Bourdarias

est un militant communiste né le 23 janvier 1924 à Paris, engagé dans les Bataillons de la Jeunesse, organisation de Résistance d’obédience communiste qui le conduira notamment à participer au commando de Nantes qui exécuta l’officier allemand Karl Hotz déclenchant en représailles la fusillade des otages de Chateaubriand. Il a été fusillé par les Allemands au Mont Valérien le 17 avril 1942.
Une rue d’Alfortville porte le nom de Marcel Bourdarias.

Relevés sur MemorialGenWeb

Plaque Commémorative 1939-1945 [relevé n° 66183]

BOURDARIAS Gilbert Marcel     17/04/1942 Suresnes (92)

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14-18 à Maisons-Alfort : Les ennemis

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Textes choisis Maisonnais (5) : Ancien doyenné de Monthléry.

ANCIEN DOYENNÉ DE MONTLHÉRY.

MCCCCLIV.

IVRY-SUR-SEINE. – EGLISE PAROISSIALE DE SAINT-PIERRE.  – 1676


PAR CONTRACT PASSÉ PARDEVANT

  1. ME. JEAN BARRE [1] LE 27 DECEMBRE 1676

IL APPERT QVE MESSIRE PHILIPPES DE

LOYNES CHEVALLIER SEIGNEVR D’IVRY

ET DE PARAS CONER DV ROY EN SES

CONSEILS ET PRESIDENT AV MORTIER

DV PARLEMENT DE METS, A FONDÉ

A PERPETVITÉ LA CONFRAIRIE DV

ROSAIRE [2] DANS CETTE CHAPPELLE QV’IL

A FAICT BASTIR EN L’ANNEÉ 1647 SOVB [3]

L’INUOCATION DE LA SAINCTE VIERGE

AVX CONDITIONS PORTEÉS PAR LEDIT

CONTRACT QUI SONT QVAVX QVATRE

FESTES DE LA VIERGE DES 25 MARS,

I5 AOVST, 8 SEPTEMBRE, ET 8 DECEMBRE [4]

ET LES DOUZE PREMIERS DIMANCHES

DES MOIS ET LE IOUR DE LA ST JEAN

27 DECEMBRE [5] DE CHAQVE ANNEE L’ON

DIRA DANS LADICTE CHAPPELLE VNE

GRANDE MESSE HAVLTE ET VN SALVT

APRES LES VESPEÉS DESD’. DIX SEPT

IOVRS, A LA FIN DVQUEL L’ON DIRA VN

LIBERA ET VN DE PROFVNDIS POUR LE

REPOS DES AMES DE SES PERE ET MERE

CE QVI A ESTÉ ACCEPTÉ PAR MRE IEAN

IOLLAIN DOCTEVR DE LA MAISON ET

SOCIETÉ DE SORBONNE, ET CURÉ

DVDIT IVRY, ET 2 SALVTS LE DIMANCHE

ET L’OCTAVE DV ST SACREMENT.

 

Marbre noir. – Haut. 0m,49 ; larg. 0m,32.

 


On monte à l’église par un escalier de quarante-six marches. La structure de l’édifice n’offre d’ailleurs qu’un médiocre intérêt. L’analyse archéologique y découvre quelques caractères des XIIIe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Le XII1e siècle s’y révèle dans des chapiteaux et dans des nervures; le XVle a mis sa signature sur un tailloir de colonne, 1575.

La chapelle de la Vierge que Philippe de Loynes fit construire occupe la dernière travée du bas côté septentrional. L’inscription, qui en témoigne et qui relate, en même temps, la fondation de la confrérie du Rosaire, est gravée sur une simple plaque de marbre noir fixée au premier pilier de cette chapelle, à main gauche. Philippe de Loynes, issu d’une ancienne famille de magistrature, fut reçu conseiller au Châtelet de Paris en 1637, conseiller au Grand-Conseil en 1642, conseiller an parlement de Paris en 1644, président à mortier au parlement de Metz en 1651 [6].

L’abbé Lebeuf [7] fait mention d’une transaction à laquelle intervinrent, vers 1672, le curé Jean Jollain et Philippe de Loynes, en sa qualité de seigneur du lieu, pour le règlement des services et fondations de la paroisse. Le clergé d’Ivry, comme celui de Vitry-sur-Seine [8], était dans l’usage de se rendre en procession à la chapelle de Notre-Dame des Mesches, le dimanche de Quasimodo. Le curé demanda la suppression de cette coutume à cause des indécences qui se commettaient au passage de la rivière et au village de Maisons, où il fallait attendre à la porte d’un cabaret que les chantres eussent fini de boire.

 

Inscription de la France du Ve siècle au XVIIIe

par M. F de Guilherm – MDCCCLXXIX


[1] Jean Barré était lieutenant du bailli d’lvry en 1672 (Lebeuf).

[2] Voy. semblable fondation à Sceaux

[3] Sic.

[4] L’Annonciation, l’Assomption, la Nativité, la Conception

[5] Saint Jean 1’Evangéliste

[6] De la Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la Noblesse, t. IX, p. 188. – La famille de Loynes, originaire de Beaugency, transféra sa résidence i Paris, vers 1500.

[7] Op. cit. t XII, p. 188

[8] Voy. ci-dessus, n° MCCCCXLIX


 

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14-18 à Maisons-Alfort : au début du siècle dernier

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Textes choisis Maisonnais (2) : le Quid 2001

Le quid

Localité : Maisons-Alfort

Coordonnées : Code postal : 94700

Département : Val-de-Marne (94)

Région : Ile-de-France


Chiffres clés :

Population : 51 022 hab. · Altitude : 38 m · Superficie : 538 ha


Généralités historiques :

Étymologie : Mansiones, maisons, nom dû aux premières maisons construites à l’écart de la Seine et de la Marne. Afort, vocable ajouté à la Révolution, provient du nom d’un domaine de Pierre d’Aigueblanche, seigneur d’Herefort au 12ème ; ce nom devint Hallefort, puis Alfort. Donné en 988 par Hugues Capet à l’abbaye de Saint-Maur, qui affranchit de toutes servitudes ses habitants en 1262. En raison de la proximité du pont de Charenton, Maisons fut exposé aux destructions des guerres des 14ème, 15ème et 16ème. En 1765, création de l’École vétérinaire par Louis XV. En 1827, construction du pont d’Ivry, en 1841 du fort de Charenton, et en 1849 de la ligne de chemin de fer de Lyon qui devint, en 1885, la limite ouest de la commune, par suite de la création de celle d’Alfortville. Graves inondations en 1876 et 1910. La commune se compose de 4 quartiers : Maisons, noyau de l’ancienne agglomération autour de l’Hôtel de ville ; Alfort, vieux centre commercial en transformation et son École vétérinaire. Charentonneau, quartier résidentiel en expansion ; Vert-de-Maisons, quartier nouveau en plein essor


 

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Presse people et mariage !

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Faux semblants et sentiments. Selon une information rapportée par La Provence ce lundi, les juges de la cour d’appel d’Aix-en-Provence ont annulé une union après avoir remarqué une chose étrange… A leurs yeux, le marié ne souriait pas assez sur les photos de mariage.

Les amoureux se sont rencontrés en 2005 sur leur lieu de travail. Très vite sous le charme l’un de l’autre, Malika, comptable de 48 ans, et son compagnon, décident la même année de se dire oui pour la vie. Le rêve n’a pourtant pas tardé à se briser.

« Il y a eu un changement de comportement chez lui. C’était très dur pour moi d’avaler la pilule. J’ai compris que je vivais avec quelqu’un qui me mentait », a confié la mariée qui commençait à avoir des doutes quant à la sincérité de son mari. Selon La Provence, le mari était même revenu « provocateur, agressif, violent ».  Il s’est avéré que Malika avait vu juste. Son mari a demandé le divorce, et Malika servait en réalité « d’appât pour lui permettre d’obtenir un droit de séjour en France. »

« J’ai décidé de sortir les griffes »

Pour Malika, il était absolument hors de question de se laisser faire. Prenant les devants, elle a finalement saisi la justice et a demandé l’annulation de son mariage. « Pour moi, c’est comme s’il n’avait jamais existé. J’ai décidé de sortir les griffes », a-t-elle livré.

Son avocate, Maître Isabelle Terrin, a expliqué à La Provence : « Lorsque l’un des époux joue le jeu de la séduction à l’autre pour des raisons administratives, cela crée des désastres dans la vie privée du futur conjoint utilisé comme un passeport. »

Au final, Malika a obtenu gain de cause. Son mariage « gris » (lorsque l’un des époux est de nationalité étrangère et trompe l’autre sur ses sentiments amoureux réels) a été annulé. La justice a notamment motivé sa décision en se basant sur les photos du mariage, estimant que les sentiments du marié n’étaient pas crédibles : il se souriait pas assez. Ironie de l’histoire, c’est le mari lui-même qui a transmis ces photos à la cour d’appel.


 

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Manuel Officiel des Communes du Département de la Seine – 1900 – Maisosns-Alfort

Manuel Officiel des Communes du Département de la Seine

du Cours Foncier par Commune et par Rue. Sous la direction de Maxime Petitbon.


Comprenant pour chacune des 76 communes

Le plan en couleur

Une Notice archéologique et historique

La nomenclature de toutes les rues par lettre alphabétique et leur situation.

(Date postérieure à 1900)


Maisons-Alfort HISTOIRE – ARCHÉOLOGIE


Maisons-Alfort est d’origine très ancienne. Son étymologie est : Mansiones, Maisons et date du Xe siècle. On lit en effet dans l’Histoire du Diocèse de Paris de l’abbé Lebeuf que Mayeul, abbé de Cluny, ayant rétabli la régularité dans l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés, vint trouver Hugues Capet, roi de France de 946 à 996 et le pria de subvenir aux besoins de ces religieux en leur accordant quelques terres voisines de leur monastère. Ce prince fit à l’instant expédier une Charte par laquelle il donnait à cette communauté le Seigneurie d’un village appelé Mansiones, avec les terres, les moulins, les pacages, les eaux et leur cours et les serfs; de plus, les deux églises du lieu, chargeant les Moines de prier Dieu pour lui, la reine son épouse et leur fils Robert. ”

Ainsi est prouvée l’ancienneté de Maisons- Alfort.

L’Abbé de Saint-Maur eut donc une habitation à Maisons dont il était le Seigneur avec droit de justice. Plusieurs fiefs furent créés par lui et l’un de ces fiefs fit partie du domaine royal, car François Ier y bâtit un château que la belle Diane de Poitiers habita jusqu’à la mort de son royal amant.

Maisons-Alfort situé à l’extrémité du pont de Charenton et sur la rive gauche de la Marne appartient aujourd’hui à l’arrondissement de Sceaux. On en a détaché une grande partie qui s’appelle aujourd’hui Alfortville. (Voir notre notice sur la commune d’Alfortville), son importance actuelle lui vient surtout de son Ecole vétérinaire qui est, dans son genre spécial, l’un des plus beaux établissements de France.

L’École vétérinaire de Maisons-Alfort fut fondée en 1766 par Bourgelat, célèbre vétérinaire, né à Lyon en 1721 créateur de la Médecine des animaux domestiques, mort en 1779. Quoiqu’elle fut dénommée École royale à l’époque de sa fondation, elle fut cependant à cause des avantages de son institution, l’objet d’un privilège de la part de la Convention qui exempta ses professeurs et ses élèves de la loi du recrutement.

Reconstituée par l’Empereur Napoléon Ier, elle reçut de nouveaux développements par une ordonnance royale de Charles X en 1826.

Dissoute en 1848 pour avoir pris une part trop active aux événements de juin 1848 elle fut de nouveau réorganisée telle quelle est aujourd’hui.

A cette École dans laquelle sont professés tous les cours des sciences physiques chimiques, botaniques, anatomiques, pathologiques, thérapeutiques et chirurgicales est annexé un hôpital pour les chevaux et les chiens malades, ainsi qu’une porcherie et un troupeau d’animaux français ou de race étrangère On remarque aussi un beau jardin botanique, une machine hydraulique qui amène l’eau de la Marne dans l’Ecole Nous recommandons la visite de la Chapelle, des collections très curieuses que renferme le Musée, enfin la salle de dissection et le laboratoire de chimie. N’oublions pas de rappeler que 1813, les élèves de l’École vétérinaire défendirent le pont de Charenton et que plusieurs y périrent sur les pièces de canon qu’on leur avait confiées. Les élèves militaires sortent de cette École avec le titre de sous-aides vétérinaires et avec le grade de maréchaux de logis, d’autres, après avoir passé avec succès les examens, obtiennent le diplôme de médecin vétérinaire. Cette École rend les plus grands services aux fermiers et à tous ceux qui habitent la campagne.

L’Hôtel de Ville de Maisons, situé au milieu d’un beau parc, n’a aucun style architectural. Il est d’un aspect général agréable et tous les services municipaux y sont habilement aménagés. On remarque au premier étage la salle des mariages assez vaste.

L’Église date du commencement du XIIIe siècle. Elle a été depuis, l’objet d’une restauration presque complète.

Cette Église, dit l’abbé Leboeuf, n’a pas changé de saint Patron. Elle est encore sous la protection de Saint-Remî, Archevêque de Reims. Elle est basse et sans ornements d’architecture, mais elle est relevée par un clocher surmonté d’une flèche de pierre qui paraît être du XIIIe siècle comme le chœur.

Maximilien Robespierre avait à Maisons une Villa où il amenait souvent la fille du menuisier, Duplay, Danton, Camille Desmoulins, allaient l’y visiter. Diane de Poitiers, maîtresse de Henri Il y posséda aussi une maison de campagne.

Maisons qui est à 7 kilomètres de la gare de Paris et à 2 kilomètres 5oo mètres de Charenton, son chef-lieu de canton, compte aujourd’hui une population de 10.547 habitants. E.B.


 


RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

Maisons-Alfort fait partie de l’arrondissement de Sceaux, canton de Charenton, à 7 kilomètres Est de Paris.

Maire:               M. CHAMPION.

Fête :                Premier dimanche après la Pentecôte et le 15 août.

Marché :          Lundi, jeudi à Alfort; mardi, vendredi à Maisons.

Moyens de Transports. – Une seule ligne de tramways met cette localité en communication avec Paris. Ligne de la Concorde-Bonneuil.

La ligne du tramway Charenton-Créteil passe par cette commune.

Puis, en traversant le pont de Charenton on trouve la ligne de Charenton-Louvre et les Bateaux-Parisiens Charenton-Auteuil qui traversent Paris.

La ligne de Lyon dessert cette commune, station de Maisons-Alfort-Alfortville (elle sépare les deux communes).

Mouvement de la population depuis 1872:

1872     –           3.600              1886   –           6.725                         1901  – 10.723

1876     –           3.890              1891   –           7.853              soit en 30 ans, une augmentation

1881     –           6.174              1896   –           9.416                         de 7.123 habitants.

NB : En 1885 le quartier d’Alfortville fut séparé de la commune de Maisons-Alfort

Le nombre des maisons, en 1901, était de 1.391 occupées par 2.992 ménages.

Nature du sol. — Le sol est bon à toutes constructions, il est sablonneux et quelque peu argileux.


 

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Sortie du livre « A la découverte de l’église Sainte Agnès d’Alfort » — Association des Amis de Sainte-Agnès d’Alfort A.A.S.A.A.

A l’occasion de la sortie du livre « A la découverte de l’église Sainte Agnès d’Alfort », l’Association des Amis de Sainte-Agnès d’Alfort a le plaisir de vous convier à la rencontre de l’auteur Claude GOURE SAMEDI 24 MARS 2018 à partir de 15h00 A 16h00 : présentation de l’ouvrage par Jean-Paul Deremble suivie du Verre de […]

via Sortie du livre « A la découverte de l’église Sainte Agnès d’Alfort » — Association des Amis de Sainte-Agnès d’Alfort A.A.S.A.A.

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