Archives de Tag: Presse

La fracture numérique

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Le Défenseur des droits Jacques Toubon regrette sur Europe 1 la dématérialisation de l’administration, qui accentue les difficultés d’accès aux services publics.

INTERVIEWLe Défenseur des droits Jacques Toubon publie mercredi son rapport annuel, donc lequel est notamment pointée du doigt la difficulté d’accès aux services publics en raison de la numérisation de l’administration. « La rétraction des services publics » est le « fait des politiques budgétaires depuis 20 ans et de la transformation des guichets humains par le numérique », souligne mercredi dans Europe Soir Jacques Toubon.

Fracture numérique. « La numérisation crée un obstacle pour l’accès aux services publics, donc pour l’accès aux droits, particulièrement pour les personnes qui ont des difficultés d’accès au numérique, comme celles vivant dans des zones blanches, celles qui n’ont pas d’équipements ou qui ont des difficultés avec l’Internet », note Jacques Toubon, qui relève également les éventuels bugs techniques liés à cette numérisation. Et le Défenseur des droits ne pointe pas seulement du doigt les personnes âgées peu familiarisées avec les outils numériques : « Les jeunes aussi, qui sont habiles à manipuler leur smartphone, sont parfois incapables de remplir des formulaires en ligne. »

Réinvestir des économies dans l’accueil. Jacques Toubon prône pour un réinvestissement d’une partie des économies réalisées par la dématérialisation des services publics dans l’accompagnement au public, notamment lorsqu’on bascule d’un traitement papier à un traitement numérique. « Il faut un service d’accompagnement, il faut prendre en compte les situations vulnérables, il faut qu’il y ait des hommes et des femmes qui soient derrière (les plateformes numériques, ndlr), il faut tout simplement des modalités d’accueil humaines », martèle Jacques Toubon.


 

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Revue de Presse Virtuelle (102) : le 22 février 2018

Objets insolites, trésors historiques : découvrez les coulisses des Archives Bordeaux Métropole

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Le second conserve les archives et possède en son sein une salle de lecture. « Nous avons près de 14 kilomètres linéaires d’archives. », explique le directeur des lieux. Comprenez : mises bout à bout, les archives conservées représenteraient une ligne de cette distance là. Un chiffre astronomique …


Premiers pas en généalogie dans la Loire

La Revue française de Généalogie

Les Archives départementales de la Loire ont mis en ligne les registres paroissiaux et d’état civil ce qui permet de constituer assez rapidement un arbre généalogique. Toutefois, de nombreuses lacunes peuvent subsister. Par ailleurs, d’autres informations sur vos ancêtres figurent dans différents …


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Raoul BROTHIER décédé en février 1917

raoul-brotier-decede-en-1917

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La presse ignore la disparition de l’auteur du Nouveau Guide du voyageur à Poitiers (1907).

 Le 24 février 1917, L’Avenir de la Vienne évoque, à la suite du Figaro, un artiste peintre bohème, le fils du photographe Jules Robuchon : « Qui se souvient de Mérovak,  » l’homme des cathédrales  » ? Nous avons de ses nouvelles. » Prisonnier dans un camp en Allemagne, il a été transféré en Suisse (1).

Un amateur de  » collections bizarres « 

Mais qui se souvient du comte Raoul Brothier de Rollière, auteur du Nouveau Guide du voyageur à Poitiers (1907), décédé la veille à Paris ? La presse l’ignore (2).
Dans Poitiers d’avant 1914, Robert Mineau précise qu’il a ce Guide en main faisant visiter la ville aux hôtes de sa famille. Le classement par rue se prête à la déambulation (3). Il a été réédité en 1930, 1974, 1988 et 2005. Pour Poitiers Magazine en mars 2014, ce Guide « invite chacun à apprécier l’atmosphère du Poitiers de naguère » (4).
Quelle nécrologie pouvait publier la presse ? Raoul Brothier de Rollière est un « curieux personnage qui se disait tout à la fois minéralogiste, alpiniste et historien » selon Mineau (5). Un amateur de « collections bizarres » selon L’Echo du public en 1900, « ingénieur, directeur de la Société pour l’élévation gratuite des eaux » selon la Revue d’archéologie poitevine en 1901 (6). Il se dit membre de la Société des antiquaires de l’Ouest mais son nom ne peut s’y trouver en 1907, rarement dans le Bulletin. En 1977 et 1987, ses affirmations « sans fondement » et ses « capacités d’invention » y sont critiquées (7).

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Révolutionner la paléographie. Et la généalogie ?


 

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LES RECENSEMENTS DE PARIS

Rien de plus difficile que de connaître avec quelque précision la population de Paris avant 1789. L’usage avait prévalu de compter par paroisses et par feux – le feu ou foyer représentait théoriquement une famille de cinq personnes – et on arrivait ainsi à des résultats qui pouvaient suffire aux médiocres exigences de nos aïeux en matière de statistique, mais ne présentaient en réalité aucune garantie.

Aussi, un document de l’année 1328, en se basant sur ce fait que les villes de Paris et de Saint-Marcel, distinctes à cette époque, renfermaient 35 paroisses et 61 091 feux, fixe la population à 305 455 habitants. Ce chiffre est évidemment exagéré, et pour le rendre à peu près exact, il faudrait le réduire de moitié.

On prenait aussi comme principal élément de statistique, le chiffre des hommes d’armes que pouvait fournir Paris .

Sous Louis XI, lorsque le décret d’asile eut ramené à Paris tous ceux qu’an avait éloignés la guerre civile, le roi compta dans une revue près de 80 000 soldats, équipés avec soin, pleins d’ardeur sur le champ de manœuvres, et que sa bonne ville mettait à sa disposition, en cas de guerre. Ceci représente une population de 250 000 habitants environ.

Elle n’avait pas beaucoup augmenté, en 1590, puisque la garde bourgeoise était alors de 100 000 hommes que l’on vit parader, armés de sabres rouillés, de mousquets hors d’usage et même d’ustensiles de cuisine, dans les processions militaires organisées par le Ligue.

Cent ans plus tard (1700), la population de Paris atteint 530 000 habitants. Elle n’augmente que de 110 000 habitant pendant tout le XVIII° siècle. En effet, le chiffre donné par les Archives nationales pour 1798 est de 640 504.

Le premier recensement officiel, effectué d’ailleurs dans d’assez mauvaises conditions, a lieu au mois d’octobre 1801, et on constate une diminution, difficile à admettre, de près de cent mille habitants. Un très curieux opuscule, Tableau de l’an VIII, nous apprend qu’il y avait alors à Paris 100 médecins, 80 banquiers et 400 écrivains. Ajoutons, pour compléter par un détail caractéristique ces indications, 116 626 indigents.

A défaut de renseignements précis et qui puissent inspirer confiance – car les chiffres eux-mêmes en ce temps-là sont serviles – je crois qu’on peut admettre que la population de Paris, sous le premier Empire, diminue ou du moins n’augmente pas. Elle a besoin pour reprendre son mouvement ascensionnel que les bienfaits de la paix réparent les désastres et comblent les vides dus à une si longue période de guerre.

En 1816 – la population est alors de 712 966 habitants, – on commence à s’appuyer sur des documents très exacts que fournit désormais la Statistique générale de la France publiée par le ministère de l’Agriculture et du Commerce, et le Bulletin de statistique municipale, publié par le préfet de la Seine.

Le chiffre du recensement de 1829 (890 431) est établi, pour la première fois, avec une précision aussi grande que possible.

En même temps la statistique multiplie de plus en plus les indications, arides en apparence mais plus utiles pour connaître la vie matérielle de Paris que bien des études qui ne sont que des exercices de rhétorique. C’est ainsi, pour ne citer qu’un exemple,  qu’elle nous apprend qu’en 1832 un cinquième de la population est né dans les hôpitaux, un tiers y est mort.

Paris n’arrive au million d’habitants que vers le milieu du siècle (en 1846, 1 053 897 avec la population flottante), et c’est sous le second Empire qu’il trouve sa plus belle période d’accroissement (1 696 141 en 1861).

Les derniers recensement marquent un progrès continu mais en somme assez lent si on le compare au mouvement de la population dans la plupart des capitales de l’Europe.

1872 1 851 792
1876 1 988 806
1881 2 225 910
1891 2 424 705
1896 2 511 955

 

Le dénombrement de 1896 a révélé un fait assez grave, la diminution de la population dans dix arrondissements qui sont naturellement les plus riches. Dans le VIIIe arrondissement (Champs-Elysées), la diminution a été de 4 767.

En thèse générale, c’est dans les quartiers où on devrait avoir le plus d’enfants, qu’on en a le moins.

Cette population parisienne, qui avant une vingtaine d’années entrera dans sa période de décroissance, vit pour le moment à l’étroit dans un espace trop resserré. Paris occupe une surface de 78 kilomètres carrés, celle de Londres est de 360 kilomètres carrés. Il en résulte que la moyenne d’habitants par kilomètre carré est à Londres de 1 500 environ, et à Paris de 3 000, et dans le quartier le plus peuplé, le quartier Bonne-Nouvelle, elle atteint jusqu’à 12 000 ! Cette agglomération excessive a pour résultats inévitables le manque d’espace, de lumière et d’air, le développement plus rapide des maladies contagieuses, l’augmentation de la mortalité infantile.

L’examen et la comparaison des recensements indiquent, font toucher du doigt, un autre danger contre lequel il faudra bien, tôt ou tard, se mettre en garde : l’invasion croissante des étrangers. Il y en avait en 1872, 177 209 ; en 1896, 180 000, c’est-à-dire 75 (sans compte 47 naturalisés) par 1 000 habitants. Paris est une cité généreuse et hospitalière, mais la générosité doit s’arrêter là où commence la légitime préoccupation des intérêts de la patrie, et l’hospitalité, trop facilement accordée aux étrangers, est aussi imprudente que coupable, quand elle s’exerce au détriment des nationaux.

Henri d’ALMERAS.

Extrait du « Magasin Pittoresque » – 1901

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Vidéo du jour (82) : La Généalogie … La vie en Bleu

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La Vie en Bleu, le Dossier de Bleu Poitou

Du lundi au vendredi dès 9h05


 

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Société : Loi SAUVADET

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En Envor : sur le toit des Galeries Lafayette

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Musée de Saint-Lô : visite à la lampe torche


Comment est née l’idée de cette visite à la torche ?

« J’en ai eu l’idée un soir où je suis resté travailler tard au musée. Avant de quitter les lieux, j’ai effectué une petite ronde dans le noir. J’ai alors trouvé que l’ambiance, dans ce musée plongé dans l’obscurité et seulement éclairé par les lumières extérieures, était extraordinaire. Je me suis dit que ça serait bien de faire partager ce ressenti au public. Nous avons choisi de l’organiser ce mercredi 17 janvier, à l’occasion de la nouvelle lune. Cela ajoute une dimension encore plus mystérieuse. »


 

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« La fête des rois » : le marronnier de la nouvelle année



Si cette fête a des origines religieuses indéniables, puisqu’elle  se déroule tous les 6 janvier, à l’occasion de l’Épiphanie qui célèbre la visite des rois Mages (Gaspard, Melchior et Balthazar) à l’enfant Jésus,  la célébration des rois semble également réunir plusieurs traditions aux origines diverses. En 1931, L’Ouest-Eclair fait remonter la tradition de la galette des rois « au XVe siècle ». « Une vielle chronique » rapporte :

« On s’asseyait en rond autour d’une immense galette et, lorsque la fève se trouvait enfin aux mains d’un des invités, on lui passait une couronne en papier et le gobelet en métal […] puis tout le monde se levait pour s’écrier : « Le Roi boit, le Roi boit, vive le Roi ! » »

Une fête des rois qui n’oublie pas pour autant les reines, d’après le quotidien rennais : « sous Louis XIV, la coutume de tirer les Rois et d’élire les Reines fut en grand honneur. » Comme en 1648, quand des femmes de la Cour partagèrent un « gâteau des rois » en compagnie de la reine-mère Anne d’Autriche : « elles l’arrosèrent d’Hippocrate [en réalité de l’hypocras], vin sucré à la cannelle et […] crièrent avec entrain : « La Reine boit ! » chaque fois que l’élue buvait. »4 En fait, cette « antique coutume » d’une « royauté éphémère » d’une année pourrait même remonter à beaucoup plus loin, jusqu’à la fête romaine des Saturnales. En effet, on y pratiquait alors l’inversion des rôles sociaux, en élisant notamment un roi d’un jour à l’aide d’une fève dans un gâteau.


 

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Même photo pendant 40 ans !

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10 articles les plus lus sur généalogie pratique

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Depuis mars, cette année, je partage sur ce blog mes opinions, mes pratiques et mes découvertes en matière de généalogie. Un rendez-vous hebdomadaire auquel j’ai pris gout, je dois bien l’avouer.

Avant de penser à 2018 et donc aux prochains articles, je vous propose un bilan de l’année 2017 sous forme d’une liste des 10 articles les plus lus sur GenealogiePratique.fr


 

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Merci Thierry SABOT

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Chaque vendredi Thierry et son équipe nous font découvrir l’histoire et la petite histoire.
https://www.histoire-genealogie.com
https://www.editions-thisa.fr


Magazine-web coopératif et hebdomadaire lancé en 2000 – Dernière édition : jeudi 21 décembre 2017
554 auteurs, 2354 articles, 23680 messages.


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Scanner les pages d’un livre scellé

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Qui a perdu les archives anglaises ?

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Des milliers de documents gouvernementaux, détaillant certains des épisodes les plus controversés de l’histoire britannique du 20ème siècle, ont disparu.

Selon The Guardian, des fonctionnaires les auraient retirés des Archives nationales du pays et les auraient ensuite déclarés perdus. Les documents concernant la guerre des Malouines, les problèmes de l’Irlande du Nord et la lettre infâme de Zinoviev – dans laquelle les officiers du MI6 ont comploté pour provoquer la chute du premier gouvernement travailliste – auraient tous été égarés.


 

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Revue de Presse Virtuelle (100) : le 23 décembre 2017

 


Les archives démocratiques

Ressi — 20 décembre 2017

Andreas Kellerhals, Directeur des Archives fédérales suisses

Aude Thalmann, traductrice

En Europe, les archives sont des archives de démocraties. Sont-elles pour autant des institutions démocratiques ? Doivent-elles ou peuvent-elles être démocratiques ? Aujourd’hui, les archives sont aussi des archives de la société de l’information. Sont-elles pour autant numériques ? La démocratie numérique constitue-t-elle l’accès au paradis de l’information ? Répondre spontanément à ces questions par l’affirmative semble difficile. Pour ce qui est de la thématique principale – les archives démocratiques – la réponse dépend dans une large mesure de ce que l’on entend par démocratique, des attributs que l’on associe à la démocratie. Comme le montrent (malheureusement) de nombreux exemples d’États de non-droit et de dictatures, les archives ne sont en soi ni démocratiques ni des institutions de la démocratie…


Actualité généalogique par : GénéalogiePratique.fr

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Sélection des articles de généalogie publiés cette semaine.

Geneanet : Votre adresse e-mail désormais masquée sur Geneanet !

Nelly, ancêtre du Poitou : Reconnaître un décès protestant en Aquitaine

L’arbre de nos ancêtres : Les cousins d’Argentine


Le témoin du vendredi : Louise de Quengo, une aristocrate du XVIIe siècle retrouvée

Partagé par Jean-Yves Le Clerc

www.franceinter.fr – En 2014, en plein centre de Rennes, des archéologues ont découvert dans un cercueil de plomb un corps formidablement conservé. Prodige ! L’identification fut immédiate : il s’agissait de Louise de Qu…


http://lettre-gallica.bnf.fr/

Gallica raconte | Dans l’Œil de Gallica
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Bibliothèque nationale de France – ISSN 2105-0732


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La Gazette du web du vendredi 22 décembre 2017

Bonjour à tous,

Voici la dernière Gazette de l’année ! En effet, il n’y en aura pas pendant les vacances de décembre. L’occasion pour moi de vous souhaiter dès maintenant de belles fêtes de fin d’année…

Bonne lecture et bonne recherche à tous…

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La petite histoire de nos ancêtres

En Gévaudan, on n’est pas plus Bête qu’ailleurs… par Michel Patinaud

La tragique histoire de la «Bête du Gévaudan» est bien connue. Une abondante littérature, plus ou moins sérieuse, en parle. Jusqu’au cinéma qui s’est plusieurs fois emparé de l’affaire. Le but de cet article n’est pas de raconter, et en aucune façon d’apporter une énième hypothèse. Je souhaite juste attirer votre attention sur l’importance des mots dans un récit historique, et montrer à quel point une lecture attentive peut être utile à mieux connaître, et mieux comprendre.  Lire la suite…


 

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Revue de Presse Virtuelle (99) : le 22 décembre 2017

Un nouveau site Web pour les archives du Puy-de-Dôme

La Revue française de Généalogie

Elle donne à la fois accès aux inventaires et instruments de recherche et aux archives numérisées. Les archives du Puy-de-Dôme entretiennent en ligne et depuis longtemps de belles séries d’intérêt généalogique : état civil, recensement de population, cadastre napoléonien, registres matricules, …

 


Les archives diocésaines de Reggio di Calabria en ligne

La Revue française de Généalogie

Les archives historiques de l’Archidiocèse de Reggio Calabria-Bova viennent de mettre en ligne près de quatre siècles d’archives paroissiales avec les baptêmes, mariages et sépultures de 109 paroisses dont 57 urbaines. Sur la période de 1589 à 1945, ce sont ainsi 300.000 images originales qui …

 


Nos politiques révélés par la généalogie

La Revue française de Généalogie

De quels milieux sont-ils issus ? De quelles régions viennent-ils ? Avec qui cousinent-ils ? Quel est le poids de leur héritage familial ? Patronymes, origines, familles, conjoints : un autre regard sur ceux dont on croit tout connaître ! L’approche, originale de Jean-Louis Beaucarnot permet de mieux …

 


Les miss France ont besoin de vous !

Une chose est sûre : que l’on soit un fan ou un détracteur, l’élection d’une nouvelle miss France ne laisse personne indifférent ! Nous nous sommes penchés sur les généalogies de quelques-unes d’entre elles.

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Bûche de Noël, les origines

buche-de-noel

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Article du jour (371) : Héritage numérique

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Le décès de Jean B., à 47 ans, a surpris tout le monde. Il laisse à sa partenaire Nina D. et à son frère Robert B. non seulement une propriété par étages, un ménage et un peu d’argent de poche, mais aussi un compte titres de sa banque en ligne, d’innombrables adresses de courrier électronique, réseaux sociaux et plateformes d’e-commerce. Jean a préparé aussi bien son héritage physique que sa succession numérique…


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