Le 21 novembre 1874, une postière de Caen est condamnée pour avoir lu à haute voix le contenu d’une carte postale. Le serment de discrétion du personnel des postes date de 1790
Archives quotidiennes : 21 novembre 2017
PAPAMA – 1869 Taxe municipale sur les chiens – (321)
PAPAMA (PAtrimoine PAtronymique MAisonnais) c’est ainsi que furent baptisés les relevés systématiques des PAtronymes MAisonnais (vers 2002) dans près de 200 sources.
Délibération conseil municipal en 1869 – dont taxe sur les chiens
André | Taxe municipale sur les chiens. André, Journalier | ||
Auclair | Taxe municipale sur les chiens. Auclair, Cabaretier. chemin de l’Echat | ||
Barault | Taxe municipale sur les chiens. Barault. chemin de l’Echat | ||
Carret | Taxe municipale sur les chiens. Carret. Gravetier rue Véron | ||
David | Droit de Voirie. David | ||
Dulac | Taxe municipale sur les chiens. Dulac, Jardinier, chemin de Mesly | ||
Fournier | Taxe municipale sur les chiens. Fournier, Jardinier | ||
Gathier | Taxe municipale sur les chiens. Gathier, rue des Bleuets | ||
Guichard | Rétribution scolaire des filles. Guichard, grande-rue N°7 | ||
Gurrier | Taxe municipale sur les chiens. Gurrier, rue de Créteil | ||
Martel | Taxe municipale sur les chiens. Martel, rue Saint-Antoine | ||
Martel | Droit de Voirie. Martel | ||
Noguier | Taxe municipale sur les chiens. Nogier, rue Jean prolongée | ||
Pingat | Taxe municipale sur les chiens. Pingat, Marchand de vins, rue Saint-Antoine | ||
Plumart | Rétribution scolaire des filles. Plumart, rue Jacob | ||
Richard | Taxe municipale sur les chiens. Richard, Marchand de vins, rue Véron | ||
Ripart | Taxe municipale sur les chiens. Ripart, rue du Pont d’Ivry N° 7 | ||
Sallé | Jules | Taxe municipale sur les chiens. Sallé, route de Créteil | |
Salvar | Taxe municipale sur les chiens. Salvar, rue des Bretons | ||
Tessier | Denis | Taxe municipale sur les chiens. Tessier Denis | |
Thomas | Taxe municipale sur les chiens. Thomas, rue de Mayenne |
Classé dans Histoire locale, Maisons-Alfort, PAPAMA
Expo du jour (50) : Camille Godet au Musée de Beaux-Arts de Rennes
un artiste entre guerre et paix
Publiée à l’occasion d’une belle exposition que lui a consacrée le Musée de Beaux-Arts de Rennes, la rétrospective Camille Codet que viennent de sortir les éditions Snoeck est un outil essentiel pour qui souhaite découvrir cet artiste majeur. Cet ouvrage est d’autant plus important que Camille Godet est moins connu que ses illustres contemporains Mathurin Méheut et Jean-Julien Lemordant, mais pas moins talentueux.
Né en 1879 et de ce fait un peu plus âgé que ses contemporains – sans doute mieux connus – que sont Mathurin Méheut et Jean-Julien Lemordant, Camille Godet est présenté dans ce riche volume à la fois comme un peintre, un dessinateur et un pédagogue en Bretagne. La dimension bretonne de son œuvre de peintre et de dessinateur n’échappera à personne : les nombreuses reproductions de ces dessins ou toiles de paysages en attestent, à l’instar des quelques grands décors qu’on lui doit, qu’il s’agisse des fresques de la Maison du Peuple à Rennes, commandées par Jean Janvier, d’ailleurs représenté sur l’une d’entre elles (p. 152 sq.), ou de celles de la mairie de Guéméné-Penfao, en Loire-Atlantique, moins connues, que l’on découvre donc ici avec plaisir (p. 162-169). L’intérêt porté par le peintre au monde du travail, agricole ou artisanal entre autres, son goût apparent pour le dessin des gestes techniques dans les métiers du bâtiment ou de la mer ne sont pas sans rappeler certains des travaux de Mathurin Méheut (p. 170-175) avec qui il partage d’ailleurs des qualités incomparables de coloriste.
Mais Godet est aussi un pédagogue, professeur de dessin industriel à l’école des Beaux-arts de Rennes à partir de 1914, puis directeur de l’école de préapprentissage de la rue Vasselot, toujours à Rennes. On comprend mieux alors son attrait pour le monde du travail, mais aussi la précision de certaines de ses représentations, quand bien même son œuvre artistique ne peut se limiter à ces seules dimensions techniques : il en connait cependant les codes, les principes, ce qui n’est pas sans conséquences, comme l’illustrent les pages d’un fort intéressant carnet de cours (p. 56-57).
Classé dans Expo du jour
Cascade du Voile de la Mariée Bocognano — La Corse d antan
La légende du voile de la mariée Dans un autre temps, un homme riche aimait une jeune fille sans le sou. Le père de celle-ci était contre cette union. En dépit de cette opposition ils s’unirent pour le pire et le meilleur. Le père révolté par l’insoumission de sa fille, fit irruption dans la chapelle […]
via Cascade du Voile de la Mariée Bocognano — La Corse d antan
Classé dans A lire
21 novembre 1920 – Jean BASTIDE
1920 – Jean BASTIDE
BASTIDE Jean, (o Vincennes 1928, † Saint-Mandé, 1988). Peintre
o 21 novembre 1920. Vincennes
† 9 juillet 1988, Saint-Mandé
Jean Bastide est un peintre singulier plein d’humour et d’ironie. Il peint comme il le sent, laisse parler ses pulsions, ses fantasmes. Il se libère, règle ses comptes avec son éducation, la société, le monde qui l’entoure. Son but n’est pas de plaire mais de faire.
Les œuvres de Jean Bastide peuvent dérouter au premier regard, mais par une lecture plus attentive on y discerne une philosophie, une réflexion profonde, parfois, souvent désabusée, une autre vision du monde. Ces créations sont empreintes d’humour, humour noir, parfois, un peu grinçant, mais il faut voir cette dérision comme un révélateur, un rire salvateur.
Dictionnaire des célébrités du Val-de-Marne
Classé dans Ephéméride, Val de Marne