Archives quotidiennes : 18 avril 2015

18 avril 1858 – Souscription pour M. de LAMARTINE

1858 – Souscription M. de LAMARTINE

SÉRIE I
POLICE – HYGIÈNE PUBLIQUE – JUSTICE
II – POLICE GÉNÉRALE
Souscriptions
2I6-9 Souscriptions 1857-1882

4 souscriptions sont disponibles aux Archives de Créteil

6 Souscription en faveur des Anglais victimes des évènements de l’Inde
(septembre 1857)
7 Souscription pour M. de Lamartine (18 avril 1858)
8 Souscription pour les Alsaciens-Lorrains (24 janvier 1873)
9 Comité de secours pour les Israélites de Russie :
appel signé par Victor Hugo, le Président (21 juin 1882)

Tous ces dossiers sont consultables aux AD 94

Extrait du Répertoire numérique des Archives – E-Dépôt
Une partie des archives anciennes et modernes de Maisons-Alfort est déposée
aux archives départementales du Val-de-Marne en série E-dépôt

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Nés un 18 avril à Maisons-Alfort de 1792 à 1901

Relevés dans les Registres d’état civil de naissance

Date Information (1792-1901)

 

1901.04.18 ABBONDI Alfred Frédéric Alexandre
1871.04.18 AUBLE Berthe Louise
1884.04.18 BAZIN Louise
1837.04.18 BRETON Edouard Georges
1866.04.18 BRIEUX Estelle Pauline
1901.04.18 BRUGEROLLES Constant Roger
1888.04.18 CLAUDE Alice Clémentine
1846.04.18 COLLOT Auguste Charles Nicolas
1901.04.18 CRETON Alexandrine Marcelle
1877.04.18 CURTELIN Mélanie
1838.04.18 DAMIN Anna Virginie
1879.04.18 FOURCADE Emile Paul Armand
1900.04.18 FRANCOIS Raymond Augustin Camille
1882.04.18 GENTY Augustine Cécile
1872.04.18 GIROD-à-PETIT-LOUIS Ferdinand né LOUVET (rec. et légit.)
1887.04.18 GODFROY Marie
1866.04.18 GUENOT Pierre Octave
1895.04.18 HOCHARD Victor
1865.04.18 HUDEL Marie
1880.04.18 JOURDE Camille (reconnaissance)
1876.04.18 JOURDE Emile Louis
1899.04.18 KAYSER Germaine Louise
1872.04.18 GIROD-à-PETIT-LOUIS Ferdinand né LOUVET (rec. et légit.)
1836.04.18 MERCIER Adelphine Victoire
1859.04.18 MOULIN Jules Armand
1897.04.18 NOUVEAU André Jean
1881.04.18 PETIT Jules
1872.04.18 PRUNIOT Alexandrine Françoise Félicie
1899.04.18 RAMON Paul Albert
1817.04.18 RANVIOT Suzanne
1881.04.18 ROBIN Ernest Gabriel Célestin
1873.04.18 ROBINOT Marguerite Alice
1896.04.18 VILDE Emile

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Site du jour (195) : Paysages en Bataille

Paysages en Bataille

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Paysages en Bataille

L’idée

La Première Guerre Mondiale sous l’angle environnemental

 

De 1914 à 1918, le monde occidental opère une mutation radicale. Les armes deviennent chimiques, leur impact sur l’homme et l’environnement est inédit jusqu’alors, et se poursuit jusqu’à ce jour. A la veille des commémorations du centenaire de la Première Guerre Mondiale, l’exploration de ce conflit sous ce nouvel angle semble indispensable.

Comment est née l’idée de Paysages en Bataille ?

 

Lors d’une excursion familiale en Argonne, j’ai été saisie par la beauté du panorama que l’on a depuis le sommet de la butte de Vauquois. A 25 km au nord-est de Verdun, Allemands et Français s’y sont affrontés de septembre 1914 à avril 1918, dans une effroyable guerre des mines qui a ravagé le tertre et le village qu’il portait. En visitant le site, on prend la mesure du paradoxe qu’exprime le géographe Yves Lacoste : « (…) parmi les endroits d’où l’on peut voir un paysage, celui dont la vue est la plus belle est presque toujours celui qui est le plus intéressant dans un raisonnement de tactique militaire ». J’ai eu envie alors de sillonner les paysages qui portent les stigmates de la Première Guerre Mondiale, à la recherche de ce lien entre l’histoire et la nature. lire la suite sur le site http://www.paysagesenbataille.be/le-projet/l-idee/

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Qui anime ce site ? l’auteure

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Alfort l’Ecole Vétérinaire (1)

Sous le titre : “ Alfort l’Ecole Vétérinaire ”, Emile de la Bédollière nous promène dans le village d’Alfort et dans l’Ecole Vétérinaire au 19è siècle.

Emile de la Bédollière. Histoire des environs du nouveau Paris. (Paris 1861)
Illustration de Gustave Doré.

En face de Charenton, de l’autre côté de la Marne, est le village d’Alfort. Le vieux pont qui les unit tombait en ruines, quand au commencement de l’année 1861, on s’est décédé à le reconstruire. En même temps, on canalisera le petit bras de la Marne, afin que cette rivière soit navigable en tout temps.
Alfort ne forme qu’une seule commune avec Maisons, situé à deux kilomètre de distance. La métropole de cette agglomération, qui comprend 3,254 habitants, et qui n’en avait que 1,892 en 1850, tire son nom du latin Mansiones. Son église est surmontée d’un clocher bâti par les Anglais et qui mérite l’attention des archéologues.
C’est sur ce territoire de la commune de Maisons-Alfort qu’est située l’imposante forteresse qui devait être primitivement établie sur la rive droite de la Marne, et qui a conservé le nom de fort de Charenton.
Alfort était naguère le rendez-vous des canotiers. Sur le quai, Bauny et Chollet leur offraient des matelotes les plus succulentes, et dans l’île du Moulin était un cabaret très achalandé. Les navigateurs ayant pris une autre direction, la joyeuse maison de Bauny est devenue une manufacture de papiers peints; la maison de Chollet a disparu, et le propriétaire de l’île, assez riche pour faire autour de lui la solitude, a donné congé aux restaurateurs qui hébergeaient les turbulentes flottilles. Le voyageur s’éloigne avec crainte de cette verdoyante oasis qu’il abordait naguère avec tant d’empressement, et où il y a, dit-on, des pièges à loup.
Le moulin d’Alfort, appartenait à M. Rieffel, est un des mieux aménagé qui soient en France, et on a y a réalisé tous les progrès connus de la meunerie.
Si l’on jette les yeux sur notre plan, on remarquera, à l’extrémité orientale d’Alfort, une rue bordée d’un côté par un champ cultivé. Sur les bords de la Marne, contiguë à ce champ est une villa sans pareil, non seulement dans les environs d’Alfort, mais encore dans tout le département. Entre deux corps de logis, l’ingénieux propriétaire a jeté une cage de verre où croissent, arrosés par une cascade, les plantes les plus rares des régions intertropicales ; des perruches, des veuves, des diamants, des oiseaux de paradis gazouillent à l’ombre des bananiers, des dracænas, des araucarias, des cocotiers. Aux deux bouts de ce jardin d’hiver s’ouvrent sans cloison, à l’est une salle à manger, à l’ouest une salle de billard, toutes deux décorées avec luxe. Nous ne connaissons point d’habitation distribuée plus heureusement et d’un manière plus poétique. Le propriétaire, gallinoculteur maintes fois médaillé, a obtenu des variétés superbes et productives, par d’habiles croisements des races de crèvecœur, bramapoutra, cochinchinoise, houdan, padoue et flêchoise.
La suppression de la poste a ôté beaucoup de mouvement à Alfort, quoique ce soit encore une station pour les rouliers. Le chemin de fer de Paris à Lyon, inauguré le 9 septembre 1849, en facilitant les communications de Charenton, d’Alfort et de Maisons, a eu l’avantage de permettre à un grand nombre de Parisiens de se fixer dans ces parages, et nous en avons donné une preuve irrécusable en indiquant le chiffre de la population.
Aussi la commune de Maisons-Alfort est-elle en progrès ; les berges de la rive gauche de la Marne ont été consolidées par les soins du maire, M. Véron. Le vieux pont va être reconstruit en 1861, et il rivalisera en beauté avec celui du chemin de fer, qui n’a pas moins de 154 mètres de long. Le petit bras de la Marne, sur lequel était un moulin et qu’abritaient des arbres touffus, va être canalisé.
Mais ce qui assure principalement la notoriété d’Alfort, c’est son école vétérinaire, unique dans le monde entier.

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Classé dans Ecole Vétérinaire - ENVA, Episodes, Histoire locale, Lieux, Maisons-Alfort, Personnalité, Val de Marne