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Faux semblants et sentiments. Selon une information rapportée par La Provence ce lundi, les juges de la cour d’appel d’Aix-en-Provence ont annulé une union après avoir remarqué une chose étrange… A leurs yeux, le marié ne souriait pas assez sur les photos de mariage.
Les amoureux se sont rencontrés en 2005 sur leur lieu de travail. Très vite sous le charme l’un de l’autre, Malika, comptable de 48 ans, et son compagnon, décident la même année de se dire oui pour la vie. Le rêve n’a pourtant pas tardé à se briser.
« Il y a eu un changement de comportement chez lui. C’était très dur pour moi d’avaler la pilule. J’ai compris que je vivais avec quelqu’un qui me mentait », a confié la mariée qui commençait à avoir des doutes quant à la sincérité de son mari. Selon La Provence, le mari était même revenu « provocateur, agressif, violent ». Il s’est avéré que Malika avait vu juste. Son mari a demandé le divorce, et Malika servait en réalité « d’appât pour lui permettre d’obtenir un droit de séjour en France. »
Pour Malika, il était absolument hors de question de se laisser faire. Prenant les devants, elle a finalement saisi la justice et a demandé l’annulation de son mariage. « Pour moi, c’est comme s’il n’avait jamais existé. J’ai décidé de sortir les griffes », a-t-elle livré.
Son avocate, Maître Isabelle Terrin, a expliqué à La Provence : « Lorsque l’un des époux joue le jeu de la séduction à l’autre pour des raisons administratives, cela crée des désastres dans la vie privée du futur conjoint utilisé comme un passeport. »
Au final, Malika a obtenu gain de cause. Son mariage « gris » (lorsque l’un des époux est de nationalité étrangère et trompe l’autre sur ses sentiments amoureux réels) a été annulé. La justice a notamment motivé sa décision en se basant sur les photos du mariage, estimant que les sentiments du marié n’étaient pas crédibles : il se souriait pas assez. Ironie de l’histoire, c’est le mari lui-même qui a transmis ces photos à la cour d’appel.
Classé dans A lire, Histoire locale
Ce mois-ci un article dans le « Le magazine du département »
Les articles sont disponibles sur les pages 26 à 34
Page 34
Classé dans Archives, Archives Départementales 94
(107 avenue Gambetta derrière le bâtiment.) de 14h à 16h.
Mardi 3 avril – Permanence M24
14 présents.
Saison 2017-2018
Présence moyenne : 13,25 adhérents les mardis.
Présence moyenne : 19,4 adhérents les mardis, samedis et dimanches.
Permanences 2017-2018 et activités
Le Planning saison 2017-2018 est disponible sur le blog.
Les prochains rendez-vous en 2017 (saison 2017-2018)
Les dates clefs du planning 2017-2018
AVRIL
mardi 3 avril 2018 – M24
mardi 10 avril 2018 – M25
Vacances de printemps : samedi 14 avril 2018 au lundi 30 avril 2018
MAI
mardi 15 mai 2018 – M26
mardi 22 mai 2018 – M27
lundi 28 mai 2018 – Conseil d’administration du CGMA
JUIN
mardi 6 juin 2018 – M28
mardi 13 juin 2018 – M29
mardi 20 juin 2018 – M30
mardi 27 juin 2018 – M31
JUILLET
mardi 3 juillet 2018 – M32
Vacances scolaires samedi 7 juillet 2018
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Entraide généalogique (Suite)
Recherche :
Lieu et date de décès de REISSER Karl Joseph, né à Mutzig dans le Bas Rhin, le 11avril 1875.
Suite à ses nombreuses consultations du forum « Généanet », Maryse propose à Monique d’effectuer une demande de recherche au service allemand « WAST ».
Les archives du Deutsche Dienststelle « WAST » sont composées des documents de la Wehrmacht, de la Kriegsmarine et d’autres sources. Ces archives contiennent des données nominatives sur les pertes allemandes, sur les prisonniers de guerre, etc. Les fichiers forment une source d’archives importante pour de futures recherches historiques (wikipédia)
Entraide informatique
Comment agrandir, et ou capturer une page d’état civil lorsque le logiciel de visualisation ne le permet pas ?
Puis sélectionnez la zone de l’écran que vous souhaitez capturer.
Ouvrez ensuite Paint , puis Coller la vue, et redimensionner la capture au format désiré
Copier la sélection sur Word ou autre logiciel de traitement de texte.
Moment de détente proposé par Maryse :
Enigme : En s’appuyant sur trois indices Maryse nous demande de retrouver leur point commun :
Indice n°1 :
Pélègre Rutilius Dorilius
|
Indice n°2 :
ARCA
|
Indice n°3 :
Terre des communs Terre des seigneurs
|
Réponse : les trois indices évoquaient « La CORSE »
Au XVIII ème siècle, on enterrait les indigents, les membres du clergé et pour certaines communes et par souci d’égalité tous les habitants.
(Route de l’Arca, Domaine de l’Arca, et le village de l’ARCA)
La Corse est divisée en deux régions, délimitées par une barrière montagneuse
L’en-deçà des monts, dit Terre de communs « Haute Corse »
L’au-delà des monts, dit Terre des seigneurs, (famille Cinarchési) « Corse du sud »
Exposé Edith G
Les Chevaleresses : Femmes guerrières combattantes à cheval
Comme le précise Edith, la participation des femmes dans les conflits guerriers ont depuis toujours été occultées par les historiens, puisque considérées comme étant qu’un objet d’échange entre lignées dont l’objectif est de faire des héritiers mâles.
Pourtant dés le moyen âge la chevalerie n’est pas qu’une réalité guerrière mais aussi une idéologie partagée aussi bien par les hommes que par les femmes.
On trouve ces femmes dans :
Les croisades : souvent décrites comme prostituées ou vivandières, plusieurs chroniqueurs musulmans évoquent la présence de femmes ayant délaissées leur voile pour le casque.
Les ordres militaires et religieux :
Création de monastères doubles – maisons féminines
Dans les œuvres de charité et assistance aux malades (Les chevaliers teutoniques)
En tant que guerrières à part entière (Ordres ibériques)
Les ordres féminins : ordre militaire des dames de la Hache en Catalogne
Les ordres honorifiques aristocratiques :
L’ordre de la Cordelière
L’Ordre des Esclaves de la Vertu
L’ordre de la vraie Croix
L’ordre de la mouche à miel
Les femmes chevaleresses investissent également les ordres anglais, français, italiens, germaniques jusqu’à la renaissance.
La littérature du XII et XIIIe siècle :
Quelques exemples : « Le chevalier à la charrette » en l’honneur de Marie Champagne
Le fabliau érotique : la terrible Bérangier au long cul.
Puis surtout après l’apparition des Neuf preux entre 1312 et 1313, roman en vers de Jacques de Longuyon « les vœux du paon », l’invention des neuf preuses, issues de la mythologie antique, toutes païennes et n’hésitant pas à verser leur sang
De son vivant Jeanne d’Arc était qualifiée de 10ème preuse.
Portrait de deux chevaleresses, ancêtres d’Edith :
Sykelgaite-Sikelgaita de Salerne :
Fille du prince lombard de Salerne Guaimar IV, elle épouse en 1058 le duc d’Apulie Robert Guiscard.
Véritable Walkyrie, elle accompagnera son époux dans la difficile conquête de la Sicile et sera qualifiée de duchesse.
A la mort de Robert Guiscard, le 17 juillet 1085, Sykelgaite « se lamente, déchire ses vêtements, se lacère les joues de ses ongles et s’arrache les cheveux de désespoir ».
Source bibliographie : Bohémond d’Antioche : Chevalier d’Aventure Broché – 5 septembre 2007 de Jean Flori
Alix de Montmorency, comtesse de Montfort
Alix, sœur de Matthieu de Montmorency, conduit les renforts demandés par son mari après la prise de Béziers le 21 juillet 1209 et c’est grâce à ténacité et don énergie que l’armée s’empara de Termes.
« Si quelqu’un voulait accéder au château, il fallait d’abord se précipiter dans l’abime, puis pour ainsi dire ramper vers le ciel » note un chroniqueur.
Bibliographies :
Les Montmorency de Françoise Kermina (Ed Perrin)
Le bucher de Montségur de Zoé Oldenbourg (Ed Gallimard)
BLOG du CGMA – Z compléments
A ce jour voici les dossiers déjà parus :
Z compléments
Z PAPAMA
PAPAMA (1) : Les ouvrages de l’AMAH
PAPAMA (2) : Les ouvrages de l’AMAH les ouvrages
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Classé dans A lire
Le soldat oublié
Le 16 août 1870, les troupes de Napoléon III et du Roi des Prusses Guillaume 1er s’affrontent à proximité de Mars la Tour, village de Meurthe et Moselle. Plusieurs milliers d’hommes périront sur les champs de bataille, d’autres meurent chez l’habitant comme Joseph MOUQUIN
(L’acte de décès indique décédé au domicile de Jean-Baptiste PIERLOT)
Inhumé au sein du carré Prussien du cimetière de Mars la Tour.
Une plaque commémorative parmi beaucoup d’autres, se trouve à l’intérieur de l’église de ce même village.
Sur le monument funéraire on peut lire :
Joseph MOUQUIN né à Salans (Jura)
Soldat au 73e de ligne
Blessé au champ d’honneur le 16 août 1870
Décédé de ses blessures le 6 décembre 1870.
Des recherches personnelles conduisent un représentant du Souvenir Français de Mars la Tour (57) sur un site internet qui appartient à Annie Guillemin secrétaire du Souvenir Français de Dampierre et Conseillère municipale de Salans. Il prend contact avec elle car il s’étonne que la commune de Salans ne donne aucun renseignement sur cet habitant.
Des recherches sont donc entreprises par cette dernière.
L’acte de décès de Mars la Tour précise « âgé de 27 ans », donc né en 1843. Dans l’état civil de Salans se trouve uniquement « MOUQUIN Claude Joseph ». Il fallait donc trouver le lien entre Claude Joseph et Joseph MOUQUIN.
C’est maintenant chose faite. Grâce à l’entraide, la fiche militaire trouvée au « Service historique de Vincennes » permet d’affirmer qu’il s’agit de la même personne. En effet on peut lire sur ce document:
Mouquin Claude Joseph né à Salans Jura le 9 juin 1843, fils de feu Jean Mouquin et de feue Thérèse Michoullier avec les annotations :
Jambe droite emportée par une bombe le 16 août 1870 à la bataille de Gravelote, décédé le 6 décembre 1870 à Mars la Tour des suites de ses blessures.
Le conseil municipal de Salans va étudier toutes les possibilités de rendre hommage à la mémoire du « Soldat oublié ».
Nouveau : Photos anciennes de l’école de Salans…
Le soldat oublié (1870)
1932 – 1934 – 1936 – 1938 – 1892/1974 – 1976 – 1979/80 – 1981 – 1983 – 1984 – 1987/88
Fraisans, les morts pour la France
Forges de Fraisans – Les morts pour la France
L’évolution du nombre d’habitants à Salans
L’arbre généalogique est une bonne chose à condition de ne pas y rester perché. C’est pourquoi chaque génération se doit de faire un effort personnel et d’apporter sa pierre à l’édifice familial.
Citations de A. E. Janssen
Les Soldats de Salans sur le monument aux Morts
Nom Prénoms | Conflit | Date & lieu de décès | Sépulture | |
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1914-1918 | 20/01/1916 Bussang (88) | ||
|
1914-1918 | 22/08/1918 Pont-Sainte-Maxence (60) | ![]() |
|
1939-1945 | 1945 | |||
1914-1918 | 16/10/1916 Fresnes-Mazancourt (80) | |||
|
1914-1918 | 14/05/1918 Haringe Belgique | ||
1914-1918 | 11/05/1915 | |||
1914-1918 | 16/07/1918 | |||
|
1914-1918 | 01/08/1917 Grécourt (80) | ![]() |
|
1914-1918 | 21/09/1914 Doncières (88) | |||
1914-1918 | 30/10/1918 Beauvais (60) | |||
Guerre d’Algérie | 08/10/1959 Algérie | ![]() |
||
1914-1918 | 13/09/1914 | |||
1914-1918 | 15/08/1915 Hartmannswiller (68) | |||
|
1914-1918 | 17/04/1918 Eecke (59) | ![]() |
|
1914-1918 | 18/07/1918 Faverolles (02) | ![]() |
||
1914-1918 | 04/08/1916 Chalon-sur-Saône (71) |
Annie, il manque Joseph MOUQUIN sur le Monument aux Morts, Amicalement
Classé dans A lire
Nom | Cormoran |
Type | rue du |
Quartier | Charentonneau |
S’appellera | Rue Guy Môquet à partir de 1944 |
Situation | 1910 : va de l’avenue Gambetta à la rue de Flandre 1934 (plan) : va de l’avenue Gambetta à l’avenue Foch |
Existe 2018 | A changé de nom |
Divers | Apparaît en 1903 Délibération du 08.04.1906 : voirie urbaine Délibérations des 25.12.1923 et 18.11.1925 : voirie communale |
Anciennes voies | Cormoran (rue du) |
Concordance | Rue Guy Môquet |
Extrait de l’Atlas des communes du Département de la Seine 1896-1900
Iles : Enfer – Charentonneau et Cormoran
Classé dans Dico Voie MA