La loi du 30 mars 1898 stipulait que les infrastructures, c’est-à-dire les souterrains, tranchées et viaducs, ainsi que les quais des stations seraient construits par la Ville de Paris ; tandis que les infrastructures le seraient par le concessionnaire exploitant, celui-ci étant également chargé de la construction des ateliers et des usines électriques, de la pose des voies et des équipements, de l’achat du matériel roulant. La Ville de Paris devait livrer au concessionnaire les trois lignes du premier réseau, soit 42 km de double voie, dans un délai de huit ans.