Archives quotidiennes : 29 mars 2018

Les métiers de nos ancêtres italiens (1) le « stagnaro ». — Genealogie Italie

Souvent, en lisant les feuillets matricule, les actes de naissance, de mariage ou de décès, concernant l’un de nos ancêtres italiens, nous découvrons des métiers moins courants. Cela m’est arrivé dernièrement, quand dans l’une de mes recherches, j’ai lu que la personne à laquelle je m’intéressais était « stagnaro ». Dans le langage courant, les anciens appelaient […]

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Expo du jour (54) : Nourrir au front

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Nourrir au front  : exposition sur l’alimentation et le ravitaillement des soldats lors de la guerre 14-18

Cette exposition est à découvrir jusqu’au 30 mars 2018 à la maison du Cheval, au haras de Tarbes. L’entrée est gratuite.

 

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Voies Maisonnaises : impasse Ricois

Nom Ricois
Type impasse
Quartier Centre
Apparition Existe en 1926
Situation 1928 : va de la Grande Rue et finit en impasse
1936 : va de l’avenue Jean Jaurès et finit en impasse
1960 : va de l’avenue du Général de Gaulle et finit en impasse
2018 (plan) : va de l’avenue du Général de Gaulle et finit en impasse
Existe 2018 Existe en 2018
Célébrité ou histoire Propriétaire du Château de Saint-Georges
Propriétaire Ricois

 

 


 

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Extraits de l’Histoire de Maisons-Alfort  et  d’Alfortville

Depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours

 Amédée CHENAL – Maire de Maisons-Alfort – 1898

CHÂTEAU DE SAINT-GEORGES

La propriété qui devint le château de Saint-Georges, quoique d’origine ancienne, ne fut à aucune époque un manoir féodal, lorsqu’on la mentionne pour la première fois, elle ne semble pas avoir de nom particulier : on lui donne, comme surface, 14 arpents.

Elle eut pour possesseurs successifs :

En 1640,       Philippe Platon ;

En 1656,       Jacques de Montbize;

En 1659,       Guillaume Milles, maréchal de camp ;

En 1703,       Philippe Charpentier, doyen du Grand Conseil ;

En 1728,       Phélippeaux, chevalier, seigneur d’Outzeuilles, maître des requêtes ;

?                     Demoiselle Phélippeaux, sa fille.

Nous ignorons si elle resta à la famille jusqu’à la Révolution, mais, à la date de 1791, nous trouvons cette description, qui s’y applique certainement :

« Déclaration de biens par le sieur Pascal (Maisons, 1791) :

1°        Une maison bourgeoise, non encore achevée, située sur le Grand-Chemin (Grande-Rue) à l’entrée du village, ayant rez-de-chaussée et deux étages, contenant environ 111 toises ; bâtiments pour exploitations, écuries, étables, greniers, hangars et cours, contenant environ 305 toises ;

2°        Jardin clos, attenant à la maison, partie en arbres fruitiers nouvellement plantés, partie en jardinage, et le reste en labours, contenant : 11 arpents, 68 perches ; plus, en bois, 2 arpents 5 perches ; le tout borné un bout par la Petite-Rue (rue de Charentonneau), un bout aux terres de l’Archevêché, le déclarant, M. de Chambray, la Fabrique, de Secrétin ; un côté, le Grand-Chemin, veuve Châtard, Coudray ;

3°        Un vieux corps de bâtiment dans la Petite-Rue, ayant rez-de-chaussée et un étage ;

4°        Un autre bâtiment logement de fermier, cour et petit jardin ;

5°        Terre de labour, en face de la maison bourgeoise … tenant au Grand-Chemin et à la rue Jean. »

Les déclarations de biens se faisaient aussitôt après l’acquisition ; cette maison en construction, que venait d’acheter M. Pascal, était probablement le château actuel, qui remplaçait l’ancien devenu trop vieux.

En 1797, un sieur Martinon en est propriétaire ; Pierre de Lauvigny et Laure de Carderac d’Havricourt, son épouse, lui succèdent, et le revendent en 1814 au baron de Saint-Georges, administrateur général des Messageries Royales. Agrandi par les possesseurs précédents, le château fut amélioré considérablement par M. de Saint Georges. Il passa ensuite par héritage à la famille Delaporte, qui le vendit, en 1868, à M. Homo, lequel l’a morcelé aussitôt.

Le parc, fort bien aménagé, formait avec lensemble de la propriété un rectangle presque régulier, clos de murs et sauts de loup, compris entre la Grande-Rue de Maisons, celle de Charentonneau, la partie du Chemin-Vert déclassée et devenue carrière, et les terrains militaires, moins une emprise, à droite de la façade, à l’angle des deux rues, appartenant à divers.

Dessiné à l’anglaise, on y voyait tout ce qui constitue le jardin dagrément ; bassins, rivières, ponts, rochers, labyrinthe, glacière, etc ; une pompe à manège alimentait la propriété de l’eau nécessaire.

Les bâtiments subsistent encore en grande partie ; le château est vaste ; les façades en sont assez ornées de balcons et de moulures ; l’aspect en est monumental quoique un peu lourd.

Il a été divisé par le propriétaire actuel, M. Ricois, en plusieurs appartements, après avoir été occupé par une école préparatoire à l’École Vétérinaire d’Alfort.

Les rues Delaporte, Saint-Georges et des Écoles ont été percées sur cette propriété ; les deux premières ont pris les noms de ses anciens possesseurs ; le général Carra-Saint-Cyr l’habitait en l’an IX l lorsqu’il maria sa belle-fille au général Charpentier.

 


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Un père de famille assassiné par des voleurs de grand chemin (Cossé d’Anjou, 1700) — Feuilles d’ardoise

Le 19 juin 1700 Simon GIRARD était assassiné par des voleurs de grand chemin. Père d’une famille très nombreuse – il eut en effet avec Perrine CATROUX, sa femme, pas moins de quatorze enfants – il était laboureur à La Courvoisère à Cossé d’Anjou. C’était le frère de René GIRARD, l’un de mes ancêtres directs. Ce 19 juin, […]

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COSSEVIN André décédé le 29 mars 1915

COSSEVIN André : Soldat Classe 2, 26 BCP. 1 compagnie première Cie, né le 21/11/1892 à Paris (10) 75-Seine — Fils de Paul et de MAIRE Céline, acte ? — Habite 53, rue de la Convention à Maisons-Alfort — Recrutement Mat : 1381 Seine 3 B (75) Mat : 3314 au corps — Villers-sur-Meuse (54) plaies du crâne par crapouillot le 29/3/1915 Ambulance 5/67 Villers-sur-Meuse 55-Meuse — MPF : Mort pour la France dans Mention Marginale le 22/07/1915 — Figure sur MAM — Livre d’Or —



Les études du CGMA sur ce blog :

Retrouver la fiche relative aux soldats morts pendant la Grande Guerre
Grande Guerre – Morts de la commune – version octobre 2014
Maisonnais figurant sur Memorial GenWeb
Morts de la commune pendant la Grande Guerre
Vétérinaires de l’ENVA de la Grande Guerre


 

 

 

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