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Dimanche 21 janvier 2018
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Classé dans A voir
1741 – Bail des terres de la cure de Maisons
SERIE GG
CULTES.- INSTRUCTION PUBLIQUE.- ASSISTANCE PUBLIQUE
Clergé, comptes et inventaires de la fabrique
Baux des terres appartenant à la cure de Maisons 1741-XVIIIe s.
La pièce 41 :
GG41 Bail de terres de la cure de Maisons 30 janvier 1741
Répertoire numérique des Archives – E-Dépôt
Une partie des archives anciennes et modernes est déposée
aux archives départementales du Val-de-Marne en série E-dépôt
Du 31 janvier au 2 février 1910, le Capitaine (des pompiers), enfin soulagé, note que les eaux sont stationnaires mais que ses hommes restent mobilisés pour ravitailler les rares obstinés qui se sont refusés à évacuer leurs maisons dans les quartiers les plus inondés et édifier des passerelles pour permettre à ceux des zones relativement préservées de sortir de chez eux pour se ravitailler sans marcher dans des rues transformées en égouts. L’École vétérinaire de Maisons Alfort s’avère aussi un haut lieu de la résistance. Installé sur 10 hectares au confluent de la Seine et de la Marne, le bâtiment n’est pas submergé, mais isolé sur une presqu’île battue par les flots. Heureusement, « Véto » possède son puits et son réservoir, une usine de chauffage et une centrale électrique. L’école a ses stocks alimentaires et pourrait même, au besoin, se nourrir avec son bétail sur pied puisqu’elle dispose d’un atelier d’équarrissage. Dès le 24 janvier, le directeur a suspendu les cours et demandé aux élèves et professeurs volontaires d’organiser un centre de secours. « L’arche de Noé » abritera jusqu’à deux cent soixante réfugiés, sans compter les animaux domestiques et les têtes de bétail que les sinistrés lui confient avant de fuir vers Paris. « Véto », dotée de lignes téléphoniques de campagne installées par le génie, sert aussi de basse stratégique pour une cinquantaine d’artilleurs, leurs chevaux et prolonges, une centaine de marins avec leurs canots et des fantassins dépêchés pour monter la garde autour du camp. Au terme du siège, la communauté du château fort arrose même un heureux événement : une réfugiée accouche le 30 janvier 1910 d’un bébé… aussitôt baptisé Moïse.
Source : Paris sous les eaux ! De Choisy-Le-Roi à Asnières Chronique d’une inondation
Jean-Michel LECAT et Michel TOULET – Editions OUEST-FRANCE
Moïse ensuite se maria à Alfortville.
Du samedy trentième jour de janvier, se décharge ledit comptable de 18 livres 15 sols.
Savoir : 8 livres pour un agneau donné au sieur Petitpas, pour le prier d’aller chez mondit seigneur l’intendant lui recommander le bon droit :
D’après Amédée Chenal Maire de Maisons-Alfort
Classé dans Histoire locale, Maisons-Alfort
CONSTANTIN Jean († Créteil, 1997). Auteur Compositeur Interprète.
o 9 février 1923, Paris XVII
x Lucienne Marie Madeleine C.
† 30 janvier 1997, Créteil (Val-de-Marne)
Une longue moustache gauloise qui tombe sur un ventre rond, un crâne à la Yul Brynner, les caricaturistes ont de quoi faire. La personne même de Jean Constantin est un spectacle en soi. Ce n’est pas un chanteur, plutôt un chansonnier qui tape sur un piano; mais il ne faudrait pas que le côté rigolard de Jean Constantin nous cache son autre muse, celle des heures tendres. Quand il raconte Ma Gigolette, l’émotion passe.
Dictionnaire de la Chanson Française,
Pascal Sevran
Dictionnaire des célébrités du Val-de-Marne
Classé dans Célébrités du Val-de-Marne, Val de Marne
2e Président de la IIIe République du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879.
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Patrice de MAC-MAHON (1808-1893) est un militaire, ce monarchiste deviendra le deuxième président de la IIIe république. Il est élu pour ses convictions légitimistes. Une nouvelle constitution est votée le 21 février 1875. La IIIe république (encore provisoire) est dotée d’une chambre désignée au suffrage universel et d’un Président élu pour sept ans, rééligible ayant pouvoir de dissoudre la Chambre avec l’aide du Sénat. Patrice Marie Edmé Maurice de Mac-Mahon use de cette prérogative le 25 juin 1877. Sommé par Gambetta « de se soumettre ou de se démettre », Mac Mahon démissionne le 30 janvier 1879.
Classé dans Ephéméride
Du 31 janvier au 2 février 1910, le Capitaine (des pompiers), enfin soulagé, note que les eaux sont stationnaires mais que ses hommes restent mobilisés pour ravitailler les rares obstinés qui se sont refusés à évacuer leurs maisons dans les quartiers les plus inondés et édifier des passerelles pour permettre à ceux des zones relativement préservées de sortir de chez eux pour se ravitailler sans marcher dans des rues transformées en égouts.L’École vétérinaire de Maisons Alfort s’avère aussi un haut lieu de la résistance. Installé sur 10 hectares au confluent de la Seine et de la Marne, le bâtiment n’est pas submergé, mais isolé sur une presqu’île battue par les flots. Heureusement, « Véto » possède son puits et son réservoir, une usine de chauffage et une centrale électrique. L’école a ses stocks alimentaires et pourrait même, au besoin, se nourrir avec son bétail sur pied puisqu’elle dispose d’un atelier d’équarrissage. Dès le 24 janvier, le directeur a suspendu les cours et demandé aux élèves et professeurs volontaires d’organiser un centre de secours. « L’arche de Noé » abritera jusqu’à deux cent soixante réfugiés, sans compter les animaux domestiques et les têtes de bétail que les sinistrés lui confient avant de fuir vers Paris. « Véto », dotée de lignes téléphoniques de campagne installées par le génie, sert aussi de basse stratégique pour une cinquantaine d’artilleurs, leurs chevaux et prolonges, une centaine de marins avec leurs canots et des fantassins dépêchés pour monter la garde autour du camp. Au terme du siège, la communauté du château fort arrose même un heureux événement : une réfugiée accouche le 30 janvier 1910 d’un bébé… aussitôt baptisé Moïse.
Source : Paris sous les eaux ! De Choisy-le-Roi à Asnières Chronique d’une inondation