Gaston de Ruyter Chansons ardentes. 1917 — Les 100 livres

Voici les froides nuits aux creux de la tranchée Et les longues factions, nerfs crispés, l’œil au guet ; Et voici les retours, sans glaive et sans trophées, Des soldats harassés, farouches et muets. Voici les mois perdus déroulant, monotones, La plainte quotidienne aux matins sans soleil ; Voici l’église nue où les cloches ne […]

via Gaston de Ruyter Chansons ardentes. 1917 — Les 100 livres

Publicité

Poster un commentaire

Classé dans A lire

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s