Continuons notre voyage en Italie et parlons maintenant d l’état civil napoléonien. Si cette expérience ne couvre pas un laps de temps très étendu (nous pouvons en limiter d’une manière approximative l’extension temporelle entre 1804 et 1814), il s’agit d’une réalité fondamentale pour l’Italie. En effet, pour la première fois certains territoires italiens ont connu […]
Archives quotidiennes : 17 octobre 2017
L’état civil napoléonien — Genealogie Italie
Classé dans A lire
Nés un 17 octobre à Maisons-Alfort de 1792 à 1901
Relevés dans les Registres d’état civil de naissance de Maisons-Alfort
Consulter aussi le site du CGMA qui contient les tables décennales NMD
http://td-nmd-cgma.monsite-orange.fr/index.html
Pour Maisons-Alfort
Tables de naissances de 1793 à 1922
Tables des mariages de 1793 à 1912
Tables des décès de 1793 à 1908
Pour Alfortville
Tables des naissances 1885 à 1902
Tables des mariages 1885 à 1902
Tables des décès 1885 à 1902
Date Noms prénoms
1868.10.17 | GAUTHIER Antoinette Marie |
1868.10.17 | GAUTHIER Louise Madeleine |
1883.10.17 | GOUIN Albertine |
1856.10.17 | HUGUET Eugène |
1884.10.17 | LAROUTE Ernest Charles |
1827.10.17 | LEGRAND Caroline Cécile |
1894.10.17 | LEHOUX Marcel |
1857.10.17 | LESORT Augustin Gustave |
1824.10.17 | LOUVET Pierre Antoine |
1896.10.17 | MAGNOLON Fernand Claude Henri |
1897.10.17 | MAILLET Louis Marcel |
1897.10.17 | MAILLET René Jean |
1866.10.17 | MOREAU Caroline Julia |
1862.10.17 | MOREAU Jules René |
1843.10.17 | ORRIERE Paul Marie Joseph |
1887.10.17 | PAYSANT Marius Léon |
1871.10.17 | PLATARD Édouard Léon |
1881.10.17 | POISSONNIER Fernand Joseph |
1897.10.17 | REBUFFEL Irma Régina |
1885.10.17 | ROUGET Pierre Léopold |
1878.10.17 | SCHMIT Paul Charles |
1880.10.17 | SCHNITZSPAN Ernestine Louise Émelie |
Article du jour (356) : La généalogie est-elle une commémoration ?
En lisant un article sur la commémoration et son histoire depuis la Renaissance, je me suis posé la question si la généalogie n’était pas une forme de commémoration ? Mais peut-être définissons un peu mieux cette notion. Selon Olivier Ihl, revendiquer le passé ne se limite pas à un exercice mental dans lequel chaque individu tente de retrouver ce qui lui est arrivé personnellement ni à entretenir le lien qui le rattache à l’événement. Assigner le passé suppose de se référer à des cadres de mémoire. Les règles de la mise en scène en disent plus sur ceux qui font vivre une telle filiation que sur les faits portés en exemple.
Si des conflits émaillent chaque mémoire, c’est en raison de représentations formant et déformant nos souvenirs. Selon Maurice Halbwachs, la mémoire collective est un processus de reconstruction du passé. Commémorer c’est adapter l’image des faits historiques aux croyances et attentes du présent. L’action de la société demeure essentielle, se rapportant à des cadres sociaux comme la famille, la religion et les classes sociales…
Classé dans A lire, Article du jour
17 octobre 1846 – Maître de poste : Louis LABBÉ
1846 – Maître de poste : Louis LABBÉ
Louis LABBÉ est maître de poste, que sa propriété s’étend du carrefour d’Alfort aux rives de la Seine, de la route royale n° 19 (rue Eugène Renault) à la Marne et que son parc est magnifique, dessiné « à l’anglaise » avec une cascade et un petit lac.
Madeleine JURGENS précise :
Suivant jugement du tribunal civil de la Seine rendu le 17 octobre 1846, un arrêté d’expropriation frappe les dépendances de la maison d’Alfort (22 a. 95 ca. dans le jardin et 52 a. 70 ca. pris dans le parc). L’indemnité allouée est de 1.341,25 f La même année, 67 a. 45 ca. de terre labourable située dans la plaine sont achetés par la compagnie pour 5.055 f.
Cet homme d’action, on l’a vu dans un chapitre précédent, s’adapte à cette nouvelle situation. Dès le 16 août 1849, il passe un traité avec un gérant d’une entreprise d’omnibus à cheval ce qui lui permet de conserver une partie de ses postillons et de ses chevaux.
Il faut noter, toutefois, qu’avec lui, disparaît la tradition des maîtres de poste d’Alfort.
Sur l’inventaire dressé lors de son décès survenu le 17 octobre 1850, on peut lire cette appréciation impitoyable : à l’égard du brevet de maître de poste, dont il était titulaire, il n’en a été fait aucune estimation attendu que, par l’établissement du chemin de fer, c’est aujourd’hui un objet de nulle valeur.
Suivant jugement du tribunal civil de la Seine rendu le 17 octobre 1846, un arrêté d’expropriation frappe les dépendances de la maison d’Alfort (22 a. 95 ca. dans le jardin et 52 a. 70 ca. pris dans le parc). L’indemnité allouée est de 1.341,25 f La même année, 67 a. 45 ca. de terre labourable située dans la plaine sont achetés par la compagnie pour 5.055 f.
Cet homme d’action, on l’a vu dans un chapitre précédent, s’adapte à cette nouvelle situation. Dès le 16 août 1849, il passe un traité avec un gérant d’une entreprise d’omnibus à cheval ce qui lui permet de conserver une partie de ses postillons et de ses chevaux.
Il faut noter, toutefois, qu’avec lui, disparaît la tradition des maîtres de poste d’Alfort.
Sur l’inventaire dressé lors de son décès survenu le 17 octobre 1850, on peut lire cette appréciation impitoyable : à l’égard du brevet de maître de poste, dont il était titulaire, il n’en a été fait aucune estimation attendu que, par l’établissement du chemin de fer, c’est aujourd’hui un objet de nulle valeur.
D’après Madeleine Jurgens
Classé dans Histoire locale