Archives quotidiennes : 19 juin 2017

Retrouver ses ancêtres italiens : les actes de mariage — Genealogie Italie

Les actes de mariage sont -en Italie comme en France- une véritable mine d’informations généalogiques. Les séries de mariages sont conservées dans des registres communaux classés par année. Des tables annuelles/ décennales et alphabétiques – série masculine et féminine- peuvent aider à retrouver un acte dont les extrêmes ne sont pas certains. En étudiant un […]

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19 juin 1914 – Daniel BADANI, architecte du bâtiment des AD 94

19 juin – BADANI

BADANI Daniel, (o Vincennes, 1914). Urbaniste, Architecte

o 19 juin 1914, Vincennes

x 11 octobre 1944 Puy (Haute-Loire)        Andrée Madeleine Jacqueline C.

+ 2006

architecte en chef de la Reconstruction, architecte en chef des bâtiments civils et des palais nationaux, Daniel BADANI a exercé des activités de conseils et plusieurs missions internationales (en particulier dans les pays francophones d’Afrique) et nationales auprès de différents ministères (Premier ministre, ministère de l’Intérieur, ministère de l’Urbanisme et du logement 1966-1982), de la région Ile-de-France (1969-1981).

En Val-de-Marne :

Parmi ses réalisations, l’on trouve nombre de grande commandes publiques : l’aménagement du « nouveau Créteil« , au moment de la création du département du Val-de-Marne, avec la construction de la préfecture de 1968 à 1970, des Archives départementales du Val-de-Marne de 1972 à 1974 et du Palais de justice de Créteil de 1976 à 1978.

lire aussi :

Archives départementales du Val de Marne

http://www.pss-archi.eu/architecte/83/

 

 

 

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Site du jour (271) : Ar Zénith

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Ar Zénith fut le premier navire civil Français a quitter un port Français pour l’Angleterre, au  lendemain de l’appel du Général de Gaulle.
A son bord, des Sénans, des Jeunes et des Militaires, animés par  une volonté commune : la lutte contre l’occupant et le nazisme.

Ar Zénith le courrier de l’île de Sein…

Le Dundee breton en bois à voiles et à moteur , Ar Zénith a été construit en 1939, pour trois Sénans, Jean-Marie Menou, Ambroise Spinec, et Martin Fouquet.

Son rôle : assurer deux fois par semaine, le transport de passagers, de marchandises et du courrier, entre Audierne et l’Ile de Sein.

Ar Zénith précurseur de toute la flottille qui contribua au sauvetage de la France

Le matin du 19 juin 1940, le lendemain de l’appel du Général de Gaulle, il accoste à Audierne d’où il doit appareiller vers midi comme de coutume.

Un groupe de neuf jeunes originaires d’Audierne se présente à son bord.
Ces derniers ont entendu la veille l’appel du Général de Gaulle et se préoccupent de rallier l’Angleterre.
Ce groupe est rejoint  peu après par une douzaine d’autres, en effet,  l’Ile de Sein constitue une première étape vers la Grande Bretagne.


 

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P comme paléographie — L’arbre de nos ancêtres

Tous les mois, j’assiste à un cours de paléographie donné aux Archives départementales des Deux-Sèvres par sa directrice. Elle propose 2 séances à suivre : « débutants » et « confirmés ». Je me suis inscrit au 2ème groupe, non par prétention, mais parce que les horaires me conviennent un peu mieux ! Il faut décrypter des écritures anciennes. […]

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P comme Pierre Justin, du Jura à la Caroline du Sud #ChallengeAZ — Blog des promos du D.U. Généalogie de Nîmes

« Evadés dans la tempête » Tout a commencé par un article paru dans le journal du petit village jurassien où se trouve une partie de mes racines. Des cousins portant le même nom que Pierre Justin, sachant que je m’intéresse à la généalogie et que je venais d’obtenir le fameux D.U. de généalogie de l’Université de […]

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P comme PERDRIX — Feuilles d’ardoise

Villevêque, hiver 1788 Au temps où les perdrix se laissaient prendre à la main… Cette année mil sept cent quatre vingt huit le froid a commencé le vingt novembre et a toujours été en augmentant jusqu’au vingt un décembre ; le thermomètre est descendu par quatorzième degré au dessous de la glace, un degré et […]

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P comme… Pierrot — Un arbre pour racines

Tout le monde l’appelait Pierrot. Pierre Viala était le cousin de ma grand-mère, le fils de tonton René et tata Jeanne de la Baumette. Jeune, il passait ses vacances avec Andrée et Ginette… J’ai également trouvé une photo de lui lorsqu’il était à l’armée. Il faudrait que je trouve sa date de naissance pour demander […]

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P comme Protection

Voyant cela, Claude Redoux s’interposa. Garnier furieux le pris à la gorge à tel point que le jeune homme en perdit sa respiration. Heureusement pour lui, son frère François parvint à faire lâcher Garnier. Celui-ci se retourna alors contre lui. Cette fois ce fut Claude qui délivra son frère en frappant Garnier à coups de […]

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P comme Plouézec

 

Je ne pouvais pas faire ce challenge à thème géographique sans vous parler de Plouézec, un berceau important de ma généalogie. Petite commune côtière située en Côtes-d’Armor, non loin de Paimpol, on y trouve un patrimoine naturel très riche, tel que de nombreuses plages et grèves qui s’étalent sur 17km de côtes. Mes ancêtres sont […]

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P comme Pension – Challenge AZ de Christine

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Les articles de Christine : Challenge AZ 2017


 

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Nés un 19 juin à Maisons-Alfort de 1792 à 1901

Relevés dans les Registres d’état civil de naissanceConsulter, après avoir fait une recherche fructueuse, le site du CGMA

            http://td-nmd-cgma.monsite-orange.fr/

puis aller sur le site des AD 94 :

           http://archives.valdemarne.fr/archives-en-ligne/eta-search-form.html

Date Information (1792-1901)
1877.06.19 BERTHELOT Berthe
1898.06.19 CARRE Madeleine (reconnaissance)
1893.06.19 CHARLIER Maurice Paul Charles Napoléon
1871.06.19 CHEVALIER Francine
1832.06.19 CHOUFFAUX Victor Gabriel
1895.06.19 CLAVIERE Fortuné
1891.06.19 COLINOT Laure
1877.06.19 COUDIERE Marie Modeste
1886.06.19 DEMANGE Jeanne Gabrielle (reconnaissance)
1845.06.19 DESJARDINS Clara
1881.06.19 DROUILLOT Louis Auguste
1883.06.19 DUCRET Léon Arthur né DUCRAY
1883.06.19 DUCRET Léon Arthur né DUCRAY
1881.06.19 GOUMONT Lucie Victorine
1884.06.19 GUCHO Henri (reconnaissance)
1824.06.19 JOURD’HEUIL Marie Désirée
1884.06.19 LEDRU Eugène Louis
1876.06.19 LOUVAIN Edmond Jules Albert
1855.06.19 MAHERAULT Octavie Caroline
1883.06.19 MALLET Henriette Florence
1857.06.19 MARTIN Ernestine Léonie
1857.06.19 MARTIN Joseph Augustin
1882.06.19 PINGET Marie Eugénie
1880.06.19 PLAISANCE Julien Auguste
1873.06.19 ROBERT Xavier
1892.06.19 ROBIN Edouard Fernand
1875.06.19 RONKENS Fanny
1884.06.19 SEIGNER Gaston Emile
1877.06.19 TURIBLE Edmond Eugène
1899.06.19 VERCRUYSSE Suzanne Jeanne (reconnaissance)
1883.06.19 VOGEL Claudine
1893.06.19 YVAIN Céline Marie Louise

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19 juin 1720 – Mariage DELBECQ x FEUILLET

Merci à Jacques-Perrot qui a transmis ce document

Registres paroissiaux de Saint-Remi de Maisons

Le 19 juin 1720

  1720 19 juin  DELBECQ x FEUILLET

M

Robert Delbecq

et Marie feuillet


L’an 1720 le 19e Juin après la publication des bancs faitte en cette paroisse

Le 12e 19e et 26e may de la presente année les fiançailles faittes

Le jour precedent ; ce même jour ont esté mariés par moy curé

Soussigné et ont receu de nous la Benediction nuptiale apres

Que nous avons pris leur consent[emen]t mutuel, Robert Dalbecq,

Charon veuf de Magdeleine Bordeau decédée en cette paroisse

D’une part et Marie feuillet fille de deffunt Claude feuillet

Aussi decédé en cette paroisse et de Marie Mercier sa mere

Icy presente et consentente audit mariage agée de vingt cinq

Ans ou environ, en presence des temoins soussignes savoir du

Coté du marié Louis Delbeque M[aîtr]e chirurgien a paris paroisse

St Germain de l’auxerrois, de Estienette Delbec de cette paroisse

Oncle et tante de Pierre Adet chirurgien a Charenton

De Jean Baptiste Gaston Delbecq frere de cette paroisse

Du cote de la mariée de Mathias feuillet frere , de Nicolas

Mercier Boucher, et de Michel Albert jardinier

A Charenton d’autres soussignés, les mariés ont déclaré

Ne savoir signer

DELBECQ             ADET       DELBECQ

JEAN BAPTISTE DALBECQ     MATHIAS FEUILLET

MATHIAS FEUILLET           MICHEL ALIBERT

MERCIE                     COUSTERON Curé

 

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P comme Paris – Mon père

Ce jour là, 25 août 1944. Paris brûle-t-il ?

Dominique Lapierre – Larry Collins – Édition Robert Laffont

Présentation
« Paris brûle-t-il ? » est le récit passionné de l’une des journées les plus fantastiques de l’histoire du monde. Ce jour du 25 août 1944, la capitale de la France échappait à l’anéantissement apocalyptique ordonné par Adolf Hitler; Paris brisait ses chaînes et acclamait ses libérateurs dans un torrent d’émotions, de drames et de joies.

Best-seller mondial porté au cinéma dans une super production aux quarante vedettes internationales, « Paris brûle-t-il ? » est le premier grand livre-épopée du célèbre tandem littéraire Dominique Lapierre et Larry Collins. C’est peut-être aussi, par le nombre des secrets révélés et la richesse du récit, leur chef-d’œuvre. Un chef-d’œuvre que doivent absolument découvrir aujourd’hui tous ceux qui n’étaient pas nés en 1944. Et tous ceux qui souhaitent revivre le souvenir des heures historiques quand Paris se levait contre l’envahisseur pour retrouver sa liberté.

Pages 164-165
A l’autre bout de Paris, un autre prisonnier avait l’impression d’être enfermé dans un asile de fous. Au fond de son cagibi de l’hôtel Williams, square Montholon, l’agent de police Armand Bacquer attendait que d’autres Feldgendarme décident de son sort. A un certain moment, sa porte s’ouvrit et il sentit quelque chose de mou et humide lui frapper le visage. Bientôt il entendit crier : “ Salaud, tu vas être fusillé et c’est tout ce que tu mérites. ” Une femme venait de lui cracher au visage. Bien des années plus tard, Armand Bacquer se souviendra encore de la bouche tordue par la haine de cette femme qui s’appelait Paulette. Un peu plus tard, le prisonnier entendit à travers la porte la voix d’une autre femme qui lui murmura: “ Courage, tu t’en tireras ! ”
Des hommes couraient dans les couloirs, claquaient les portes, vociféraient au téléphone. Des bouchons de champagne sautaient et des verres s’entrechoquaient. La sonnerie du téléphone retentissait sans arrêt. Des bribes de conversation arrivaient parfois jusqu’au prisonnier. Quelqu’un dit en français : “ La police s’est soulevée…, ça va déferler sur les boulevards. Nous partons pour Nancy. ”
Parmi toutes les pensées sinistres que remuait Armand Bacquer au fond de son cagibi, il en était une qui l’obsédait particulièrement. “  Les Allemands vont me tuer, se disait-il, et on ne retrouvera pas mon corps. ”  L’idée qu’on pourrait croire un jour qu’il était mort comme un traître était pour l’agent de police pire que l’idée de la mort elle-même.
Bacquer n’avait plus de montre et se demandait l’heure qu’il pouvait être. Comme aucune lumière ne venait jusqu’à lui, il ne savait plus si c’était le jour ou la unit. Il se sentit tout à coup très fatigué.

Pages 170-171
Un autre Français savait, lui, qu’il allait être fusillé. Le policier Armand Bacquer vit l’eau noire bouillonner dans la nuit et eut comme une illumination. “  S’ils me mettent devant la flotte, se dit-il, je saute avant qu’ils ne tirent.  Mais les Allemands poussèrent Bacquer le long du parapet du Cours-la-Reine. Il sentait derrière lui la respiration pressante de son compagnon, le policier Maurice Guinoiseaux, arrêté le matin même au volant d’une camionnette pleine d’armes destinées à la Préfecture de police.
Les deux hommes étaient maintenant face au mur. Ils n’échangèrent pas un regard, pas même un soupir. Bacquer revit tout à coup son père et sa mère sur la place de son village de Glomel le jour de la Saint-Germain, le saint patron de Glomel. Il entendit derrière lui le bruit des bottes qui reculaient vers le bord de l’eau. Il pensa brusquement qu’il était né un 11 novembre et que c’était drôle parce que c’était le jour de l’armistice. Il revit alors pendant une fraction de seconde le visage de son père puis celui de Jeanne, sa femme, et se dit que demain, on retrouverait son corps.
Bacquer entendit le déclic d’une culasse qui se refermait. Il voulut se retourner “ pour ne pas être tué dans le dos ” mais une rafale partit de biais, le touchant d’abord à la jambe droite, puis au genou, à la cuisse, au col du fémur et enfin au poumon gauche. A ce moment la rafale de balles atteignit Guinoiseaux au cou puis à la tête. La dernière balle entra dans la nuque et ressortit par l’œil.
Bacquer ressentit une brûlure à la jambe et un choc dans la poitrine qui lui coupa la respiration. Il s’affaissa et roula sur Guinoiseaux. Alors, venant d’un autre monde, il entendit un mot : “ Fertig ! ” (Fini !)

Pages 173-174
Au contact de la pluie diluvienne, le fusillé Armand Bacquer reprit connaissance. “ Je vais me noyer ”, pensa-t-il. Des feuilles, des brindilles, de la boue, entraînées par les flots recouvraient son visage. Il essaya de se traîner sur les coudes. Mais sa jambe était comme détachée de son corps. Il allongea le bras et sentit le corps raide de son compagnon. Une pensée se mit alors à l’obséder : “ Si les Allemands reviennent et qu’ils voient ce cadavre, ils vont m’achever. ” Bacquer entendit alors le “ pin-pon ” d’une voiture de pompiers qui passait dans l’avenue. il se mit à crier faiblement “ au secours, au secours ”, mais bientôt le sang de son poumon perforé l’asphyxia et il perdit connaissance. Dans son délire, Bacquer entendit passer au-dessus de lui des centaines de voitures de pompiers et leurs avertisseurs résonnaient dans sa tête comme des milliers de cloches. Les pompiers allaient le sauver, il en était sûr,. “ parce qu’ils étaient Français. ” Il revint à lui et avala quelques gouttes de pluie. Puis il s’évanouit à nouveau dans un monde de cauchemar plein d’Allemands qui se jetaient sur lui pour l’achever.

Le jour apparut dans un ciel que l’orage de la nuit n’avait pas complètement balayé. Un silence lourd s’était abattu sur la ville. En ces premières heures du dimanche 20 août, Paris meurtri semblait compter ses blessures. Le long de la Seine, sur le Cours-la-Reine, un prêtre marchait d’un pas rapide sur un tapis de feuilles arrachées par l’orage. Soudain il s’arrêta et écouta. De la berge en contrebas, montait comme une plainte. Il s’approcha du parapet et vit au pied du mur deux corps recroquevillés côte à côte. L’un d’eux bougeait encore. Armand Bacquer, le policier breton, n’était pas mort.
Quand Bacquer ouvrit les yeux, il vit au-dessus de lui, comme en un rêve, le visage du prêtre. Celui-ci avait sorti des plis de sa soutane une boite contenant un morceau de coton. Bientôt le moribond sentit sur son front le contact du coton plein d’huile et entendit des mots incompréhensibles. Il eut alors un éclair de lucidité. “ On me donne l’extrême-onction, se dit-il, je vais sûrement mourir. ” Il réclama à boire et s’évanouit.
Quand il se réveilla, il vit cette fois briller une image merveilleuse au-dessus de son visage. C’était un casque de pompier. Puis il entendit le “ pin-pon ” régulier de la camionnette qui l’emmenait à l’hôpital. Ecoutant avec une sorte d’extase ce bruit rassurant qui avait peuplé ses cauchemars, il se dit que les Allemands ne pourraient plus l’achever (1).

1.         Armand Bacquer survécut à ses blessures. Opéré à l’hôpital Necker par le professeur Huet, il resta pendant des semaines entre la vie et la mort. Pendant des années il souffrit d’affreux cauchemars. Il voyait sans cesse les Allemands qui revenaient pour l’achever. Il travaille aujourd’hui au commissariat de police de la rue de Bourgogne, à quelques centaines de mètres à peine de l’endroit où il a été fusillé. (Décédé en 2005)

Joël Bacquer fils d’Armand Bacquer, pour en savoir plus allez sur

Fusillé mais bien vivant ! | La Libération de Paris

Ces petites histoires qui racontent la Libération de Paris – LExpress.fr

LIBERATION de PARIS – – Les sanglots longs des violons – Eklablog

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