Archives quotidiennes : 11 mai 2012

Maxime OLD un Maisonnais méconnu

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Olivier OLD, la Médiathèque de Maisons-Alfort et le CGMA

vous donnent rendez-vous la samedi 9 Juin à 14 h

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Olivier OLD vous propose SA mémoire de

« MAXIME OLD – Architecte d’intérieur (1910-1991) », son père.

 

Le passage de Maxime à Maisons-Alfort a su rester discret pour les Maisonnais.

Et pourtant !

Né dans la commune en 1910, Maxime entre à l’école Raspail en 1916 et y fait « sagement » toutes ses études primaires. Il passe plus de la moitié de sa vie rue Fernet avec sa mère veuve de Louis décédé des suites des gaz de la guerre de 14. Le travail au service de son talent de créateur a une place importante dans sa vie mais sans en exclure le plaisir partagé.

Un parcours  exemplaire ?

Il n’aurait pas aimé cette formulation figée, qui ne se dépasse pas. Se dépasser c’était sa façon d’être.

Sa renommée l’a conduit à créer des meubles pour les plus grandes ambassades, les hôtels les plus prestigieux, les paquebots les plus connus, … Dès sa sortie de l’école Boulle il est reconnu par la profession,  en premier lieu par Jacques Emile RUHLMANN qui décèle le talent  du jeune homme au point de le recruter et d’accepter que ce dernier signe en son nom des œuvres et des affaires. Maxime expose lors  de nombreuses manifestations tant en France qu’à l’étranger, ses œuvres  remportent de nombreuses récompenses, dont le grand prix à l’exposition universelle de Bruxelles de 1958. En 1960, lauréat du concours de sélection, il est  chargé de l’ameublement de la pièce de gala du paquebot France, le  grand salon « Fontainebleau » des premières classes …

Il a su associer le savoir faire des ébénistes avec les innovations de son temps pour apporter à ses créations l’élégante modernité qui le caractérise.

Venez le 9 juin, découvrir cet homme discret plein de talent.

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11 mai 1745 – Tirez …

Tirez les premiers, messieurs les Anglais !

Mot attribué à tort au Maréchal de Saxe à la bataille de Fontenoy, le 11 mai 1745, et prononcé en fait par le comte d’Auteroche, commandant des gardes-françaises, en réponse, à l’abjuration du lord Hay : “Monsieur, faites tirer vos gens.”

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11 mai 1883 – Juliette DROUET

1883 – Juliette DROUET

o avril 1806 Fougères

DROUET Juliette ( [†] Saint-Mandé). Actrice.

11 mai 1883, Paris

[†] Cimetière de Saint-Mandé

Actrice : Née Julienne Gauvain

Elle fut la compagne de Victor Hugo à partir de 1833.

Le 11 mai 1883, mort de Juliette Drouet. En juin, publication du troisième Tome de la Légende des Siècles. Juliette Drouet, l’amie et la confidente de Victor Hugo meurt chez lui à Paris le 11 mai 1883. Elle repose au cimetière nord de Saint-Mandé auprès de sa fille, Claire Pradier, qu’elle eut avec le sculpteur James Pradier.

Sa tombe porte  quelques strophes d’un poème des Contemplations.

“ Quand je ne serai plus qu’une cendre glacée,

Quand mes yeux fatigués seront fermés au jour,

Dis moi si dans ton cœur ma mémoire est fixée,

Le Monde a sa pensée,

Moi j’ai son amour. ”

Dictionnaire des célébrités du Val-de-Marne

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