1er Mai 1899 : La “Jamais contente”, une voiture électrique dépasse les 100 km/h
Archives quotidiennes : 1 mai 2012
1er Mai 1841 – GRAVEREAUX Jules
1841 – Jules GRAVEREAUX
GRAVEREAUX Jules, (o Vitry, 1841) Botaniste.
o 1er mai 1841, Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne)
† 23 mars 1916, Paris
Jules Gravereaux (1er mai 1844 à Vitry-sur-Seine — 23 mars 1916 à Paris) est un rhodologue français, qui a notamment créé la première roseraie moderne, la roseraie du Val-de-Marne.
Après avoir rassemblé, à la roseraie de l’Haÿ, tous les rosiers connus ; après les avoir étudiés, classés et décrits, Jules Gravereaux (1841-1916), fondateur de la roseraie en 1899, s’est de plus en plus pris de passion pour la Rose. Sortant du domaine de la botanique il conçoit le projet de rechercher la Rose partout où elle se manifeste : chez les savants, les historiens, les conteurs, les poètes, les artistes, les décorateurs.
Ce grand admirateur de roses, né à Vitry-sur-Seine, crée en 1910 le Musée de la Rose destiné à conserver et préserver documents et objets sur la Reine des Fleurs.
A la suite de la fermeture du musée en 1982, le Conseil général du Val-de-Marne, propriétaire de la roseraie a remis aux Archives départementales du Val-de-Marne l’ensemble des documents et objets rassemblés par Jules Gravereaux (20 ml), plus le fonds, légué par une famille de pépiniéristes briards à la roseraie en 1986. Ce fonds peu volumineux coté 49 J est composé d’archives familiales, d’ouvrages et de périodiques.
Classé dans Célébrités du Val-de-Marne, Val de Marne
1er mai 1885 – André GILL
Louis André Gosset de Guines dit André Gill.
GILL André, († Saint-Maurice, 1885. Caricaturiste)
o 10 octobre 1840, Paris.
† 1er mai 1885, Saint-Maurice (Val-de-Marne).
ANDRÉ GILL (1840-1885). Caricaturiste dont le vrai nom est Louis André Gosset de Guines. Collabora du crayon à une œuvre intitulée ” Histoire du sire de Franc-Boisy “, puis dessina pour des journaux, dont ” le Hanneton “, qui publia ses ” Binettes rimées ” Mais ce furent ses dessins dans ” la Lune “, puis dans ” l’Éclipse “, qui assurèrent son succès. Peignit aussi des tableaux, dont les plus connus sont ” Petit Homme “, ” le Capitaine “, ” Nouveau-né ” et “ le Fou “. Tableau qui dut être prémonitoire, car à la suite d’une déception consécutive à un projet grandiose qui ne se réalisa pas, il perdit la raison. Atteint de monomanie des grandeurs, il fut interné à Charenton où il mourut.
Dictionnaire des noms de rues de Paris
Classé dans Ephéméride, Val de Marne